Chapitre VIII; Prisonnière d'elle-même {Spécial Fête des pères}

144 4 4
                                    

Dimanche matin, jour sans cours, un bon vieux dimanche. Irina Poufanovitch avait une mission, et donc, Élizabetha était seule à la maison. Sans personne à qui parler, ou voir. C'en était presque à se demander pourquoi elle avait un téléphone. 21 juin? Déjà?

La maudite fête des pères qu'elle emmerdait plus que tout. Elle n'avait qu'une tante, qui pour la protéger, jouait une moitié de mère.

Fleurs dans sa main, son cœur prenant dessus de sa tête et haine dans le regard, elle sortie de la maison, chantonnant des refrain anglais de ce nouveau groupe de musique constitué principalement de garçons.
- - - - - - - - - - - - - -

Mystère: Rebonjour papa..

Non, elle ne parlait pas à un humain, mais bel et bien à une pierre tombale avec un cadre d'elle et lui.

Non, elle ne parlait pas à un humain, mais bel et bien à une pierre tombale avec un cadre d'elle et lui

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Posant les fleurs sur cette dernière, elle s'y abaissa, sur la pointe des pieds. Elle laissa un soupire expirer. Au loin, il y avait une autre personne, qui se rapprochait pas à pas, sans problèmes, simplement le regard triste et des fleurs dans la main. Il semblait détruit, lui aussi. Peut-être même plus qu'elle. Les mots passèrent immédiatement la frontière de ses lèvres.

Mystère: Pourquoi souffres-tu, tête de nuage?

?: J'étais encore jeune et vulnérable quand ma souffrance a commencé. Mon frère, qui était un exemple, génie et le petit favoris, a commis un suicide, tout le monde en fût dévasté. Il avait une petite amie et un meilleur ami, les deux s'aiment et lui avec. Il a finit par virer fou, et à tuer sa bien-aimée et lui avec.

Les secondes passèrent et aucun des deux parlaient. Ils souffraient, mais se rassuraient d'un simple sourire alors que les larmes montaient. Il avait compris son avis qu'avec son regard, et elle, avait vu que même dans le silence, ils avaient pu laisser tomber les masques. Seul un rire lui échappa, et sans retenue, elle rigola de plus bel, tout en essuyant ses yeux qui commençaient à verser 2-3 larmes.

Mystère: On a beau se comprendre et chialer, je n'ai toujours pas eu ton nom, Apollon.

Sakae: Sakae Myuzuru, de la classe 3-A. On étaient de vieux camarades de classes avant ton transfert.

Mystère: Pardon de n'avoir rien remarqué, voir oublier! Je passais juste dans les parage-

Sakae: Non, tu venais voir ton père.

Mystère: Que-

Sakae: On est la fête des pères, et as-tu oublié que je suis le cousin maternel de Harohaka?

Mystère: Autant que tu sembles adorable, je préférerais qu'on change de sujet, alors, je me casse-

Sans demander son avis ou quoi que ce soit, il se rapprocha plus rapidement et lui attrapa le poignet pas du tout comme dans les animes. Ayant donc sa pleine attention.

Sakae: Merci de m'avoir écouté, je serais là pour toi, si un de ses jours, toi aussi tu as besoin d'un ami. Même si, avec le nombre de connaissances que tu as, tu dois avoir pleins de gardes secret.

Elle le repoussa, le causant à relâcher son poignet, et tout en quittant, elle laissa passer un mot. Sur ce, elle courut au plus loin de ce temple, voulant simplement rentrer. Que lui avait-elle dit?

Mystère: Ça paraît que tu ne t'es jamais senti seul dans une pièce pleine de gens.

——————————
Le sommeil brillant comme jamais, elle avait de la difficulté à garder la tête baissée tellement la lumière l'éblouissait. Au final, elle a écouté un beau dépressif se plaindre, au lieu d'avoir guéri son propre vide intérieurement.

Enfin chez elle, elle se dépêcha de rentrer, rangez ses souliers, puis allez en direction de la cuisine afin qu'elle puisse cuisiner un plat pour Irina et elle. Quelques minutes plus tard, elle avait finis, et elle monta immédiatement dans sa chambre, afin de se changer.

Une autre journée atypique, quoi!
——————————
Je sais bien que cela ne fait pas de sens de publier le chapitre 9 avant le huitième, mais pour le précédent, je n'ai écrit que le début et la fin , je n'ai pas finis toute l'intrigue de la journée. De plus, chez moi,on est encore le 21 à 23:37, au moment de la publication. J'avais besoin de partager ce chapitre, principalement car je n'ai plus de parents. Ce chapitre me tient principalement à cœur car autant moi, Valérianna, que Mystère, j'ai rencontré des gens qui m'ont traité de; putain d'orpheline. Dans les animes, c'est une force, mais dans la vraie vie, c'est une immense souffrance et torture morale. Pardon si j'ai détruit votre humeurs du jour, à bientôt pour le chapitre 8!

Je vous aimes, mes assassins!
Pardon pour ce pavé.

866 mots

Mr. & Mrs. Akabane {Karma X Oc}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant