Avant-goût

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Pourquoi, diantre n'ai je point fui, enfin un peu de bon sens. Tu la vus, ce couloir est sûrement sans fin et puis cela serai stupide car si c'est Lucifer, il finira bien par me retrouver. Donc que dois je faire désormais, oh putain, je vais sûrement me faire interroger pour savoir comment suis je arriver ici en-fait je pense que ce serai mieux de trouver une solution, autre que rejoindre ma chère mais donc que suis je supposer faire, fuir non, tenter de le blesser voire même le tuer. «Milles milliards de milles sabord »qu'est ce que je raconte comme idioties, je ne peux le tuer, je suis qu'un mortel contrairement à lui qui règne sur les terres désolées imbiber d'un feu éternel que nul ne peut éteindre, je m'égare et j'ignore toujours comment sortir de cette situation, lorsque soudain Lucifer se daigne enfin à parler pour me calmer et ses paroles furent des plus douces et rassurantes, voilà ce qu'il dit : «Allons, mon enfant, dis moi ce qui te tourmente.» Face à ces propos qui me surpris, je ne pus répondre et il reprit : «Je me doute, que tu es surpris cela est normal tu es un mortel. Un simple mortel n'est point censé être ici mais ta présence n'est pas anodine alors as tu essayer de me joindre ou ...», d'un regard d'incompréhension, je interrompu et prononça les seuls mots qui pouvaient sortir de ma bouche : «Pardon, je ne comprend pas très bien, le fait que ma présence est justifiée.» Un moment de silence pesant pris place et dès lors que je reprit la parole, toutes les torches s'éteignit, nous plongeons dans le noir abyssale et ainsi commença le périple le plus étrange que je n'ai jamais vécu. Lucifer ne fit qu'un simple claquement de ses mains pour ouvrir un sorte de passage qui mène dans une sorte de palace comparable à l'Overlook. Diantre, j'ignorai qu'il était possible d'avoir quelque chose d'aussi luxueux et d'être aussi proche de quelque chose de banale mais je ne me plains pas trop car ne sait-on jamais ce qu'il prévoit parce que jusqu'ici, j'estime être un minimum chanceux d'être encore en vie, même si ma présence en ces lieux me rend mal à l'aise mais aussi et surtout si étrange soit-il, une certaine joie, que je ne puis cacher et lorsqu'il vit mon visage, plein de joie, il pris un air sérieux et claquât une fois de plus dans ses mains.

Rencontre avec LuciferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant