Rencontre avec Lucifer

Préparation

Dans quoi me suis je encore embarque, certes ce fut un moment plutôt agréable mais je n'ai pas envie d'aller plus loin au risque de . . ., en fait non, il y a aucun risque et puis, si il y en avait je ne suis plus à ça près, dans mes souvenirs en tout cas, que faire, maintenant je suis allonger à ses cotés avec quelques résidus rougeâtre proche de mes lèvres et sur le reste de mon visage, lui se délecte encore et toujours de la scène tout en se levant, pour se diriger vers une salle de bain pour se nettoyer et ainsi par la même occasion, se changer. Après s'être changer L'Ange Déchue, me rétorqua : "Va, te débarbouiller, ma chère, et change toi par la même occasion, car nous avons un bal. "Pardon, mais il y a bien dit "nous", suis je dans un rêve, et je répondis :"Soit, mais où vais je trouver une tenue convenable, ce n'est pas comme ci je pouvais rentrer à la taverne." Et par la suite je baladai mes yeux dans toute la pièce à la recherche d'un placard ou quelque chose de similaire, ainsi il reprit :"Tu trouvera dans cette pièce, tous ce que tu as toujours rêver," Et me montra du doigt une porte en bois d'acacia et ornée de figures d'émeraudes, tous aussi si brillant que l'étoile polaire puis je répondis donc avec un fond de curiosité : "Et dis moi, Sherlock depuis, quand je mets des costumes, et jamais je n'irais pas à cette fête." Lucifer me reprit d'un ton agacé mais toujours dans un calme légendaire :" Écoute et la ferme dans ce placard ce trouve tous ce que tu as toujours rêver." Euh. . . j'ignore vraiment le contenu mais j'espère qu'il a raison et ainsi je pris la direction du fameux placard, quittant le confort du lit. Je m'approche de la poigne fait d'améthyste et de titane quand soudain , je l'entendis : "Tu as deux heures, pour te préparer, sois prête Ma chère." Et il fut enfin partie, certes ce fut long d'attendre mais je peux enfin un coup d'œil dans ce placard. Lorsque que j'ouvris la porte, je vis le paradis dans ce lieux de désolation et de souffrance éternel, ainsi donc la porte ouverte, je rentrai timidement dans ce paradis, je vis alors des centaines de tenues, de chaussures et je me rappela que parfois, j'espère tellement que des fois, la frontière entre la fiction et la réalité devient proche, trop proche, que j'ai des hallucinations . . .