Amour Interdit. [PAUSE/RÉECRITURE]

Chapitre II

-Mignon? répétai-je, tout en rougissant.

- Euh... On va en cours? me dit-il en écrasant sa cigarette.

- Eum, oui.

- PDV de Matthieu -

Putain! Il me fait bander tellement qu'il est beau. Ses yeux noisettes me font chavirer a chaqu'un de ses regards, et son parfum, par pitié. Il est tellement magnifique.

- PDV de David -

C'est dommage... J'aurai cru qu'il était gay, surtout que c'est un Brad Pitt juste devant moi quoi. J'ai envie de lui sauté dessus.

- Bonjour les élèves, asseyez-vous, dit madame Chapui.

Ce cours n'était pas intéressant. Matthieu l'était plus. Je le regardais, il me regardait, on ne se lâchait pas du regard.

- DAVID TU VEUX QUE JE T'AIDE?

Le cri de madame Chapui me fit sursauté, et par ce sentiment, j'ai fait tomber mon crayon.

- Non, euh, oui, enfin, non, je n'ai pas

besoin d'aide.

Je me suis penché pour ramasser mon crayon quand je sens une pression sur mes fesses. C'était quoi?

- Bouge pas, me dit Matthieu.

Il me malaxait les fesses, et c'était très agréable, je me laissais faire deux secondes et me suis réveiller et suis relever.

- Mais t'as craqué ton slip?

- Non, mais j'aimerai craqué le tien.

- Qu'est-ce qu.. tu as dis quoi?

- Euh? Rien...

Il rougit, il réécouta le cours.

Je comprends pas ce qui se passe, pourquoi ai-je aimé? Je suis pas pédé moi. Enfin, je ne sais pas.

La sonnerie retentit, c'est déjà la fin des cours.

- Ta maman vient nous chercher ou on rentre a pied? me demanda Matthieu.

- Pourquoi tu as fait ça pendant le cours? demandai-je brusquement.

- Oh! Calme toi. C'était un délire mec, je rigolais.

- Bah, moi, ça m'a déplu.

C'est faux, j'ai adorer. Mais je n'ai pas le droit d'aimer.

- Hey mec, on marche et on verra ça.

On commençait à marcher, une brise légère lui fit bouger sa mèche en avant.

- On est obliger d'aller au cartier?

- Eh tu veux faire quoi appart rentrer,

- J'ai toujours voulu aller vers la Saine.

- Euh, d'accord, on peu y aller.

- Tu connais mieux que moi, je viens d'arriver.

- Ouais.

Il a prit ma main, et on entre dans une petite ruelle.

- Faut qu'on parle avant.

- De?

- Sur ce que je t'ai fait.

- Laisse tomber, c'est déjà oub...

Nos lèvres se sont mélanger, je ne m'y attendait pas, mais ça m'a plu, et on s'est embrasser pendant cinq minutes puis après on a arrêter tout en se regardant.

- Tu vois que tu aimes.

- Euh, je, mais, comment?

- Laisse tomber, tu parle trop.

On recommença à s'embrasser. Il me prit par ma taille, et il me câlinait le dos, je me perdais dans ces yeux bleues.

- Tu veux dormir a la maison ce soir?

- Faut moi avec ma tente.

- T'inquiète pas.

On sorti de cette ruelle main dans la main, sans même remarquer qu'on était en rue.

Je reçois un message d'un numéro prepayé :

" J'en sais beaucoup. Beaucoup trop. "