Jean était très tendu car il venait juste d'être renvoyé de l'hôpital pour exercice illégal de médecine.
Il était recherché par la police mais obsédé par Lana il voulait mettre d'abord son plan en exécution avant de quitter le pays.
Il entendit encore frapper à la porte et alla ouvrir pour se retrouver nez à nez avec Lana.
Il sourit à la jeune fille cachant son vrai visage d'un dangereux prédateur sexuel.
Diouba vit sa cousine entrer dans l'appartement et retint sa respiration.
Elle sentait un danger qu'elle n'arrivait pas a expliquer.
Le soleil avait complètement disparu du ciel et l'étoile polaire avait déjà fait son apparition sous une petite brise du soir d'été.
Ça fait plus d'un tour d'horloge que Lana et Jean discutaient .
Ils riaient aux éclats et Jean n'avait pas encore dit à Lana pourquoi il l'avait invité.
En tout cas il avait commandé du poulet pour elle.
Lana termina son plat et regarda son téléphone.
_Merci Jean pour ce repas .
Tu me connais tu sais bien que je suis irrésistible aux poulets.
C'est la deuxième fois que je mange du poulet oubliant ma cousine je devrais même l'appeler taquina t'elle
Le poulet me tuera un de ces jours.
_Lana tu sais bien que je tiens bien à toi c'était juste pour partager un repas avec toi et après on va discuter mais trinquons à la paix.
_A la paix
Lana et Jean levèrent leurs verres au moment où l'écran plat suspendu au mur passait une scène d'un film où l'homme embrassait la femme ce qui gêna un peu Lana qui termina son verre .
Diouba regarda son téléphone qui affichait 20 :00 et sortit de sa cachette -une maison abandonnée de la ruelle d'en face – et se dirigea droit devant l'appartement de Jean pour essayer d'écouter à la porte mais elle vit qu'il y'avait une fenêtre qui donnait à la rue et elle alla directement la bas .
Il na y'avait presque personne dans la rue à part quelques filles aux tenus ultra courts avec leurs mecs attendant un taxi .
Lana était déjà dans les tourbillons du Triangle des Bermudes.
Elle avait but la boisson et quelques instants après la puissante drogue fit effet.
Jean sourit intérieurement et se dit que c'était son jour de chance.
Il prit son téléphone et composa un numéro.
Diouba entendit le bruit d'un taxi et retourna vite à sa cachette.
Quand elle vit l'homme qui descendit du taxi son cœur augmenta de rythme .
L'homme frappa à la porte et Diouba crut rêver .
Elle venait de reconnaître l'homme qui l'avait violé.
Le faux chauffeur de taxi avec sa longue taille maigrichonne habillé d'un caftan tout blanc et des nu pieds noirs .
Son cerveau pensa à toute sorte de scénario et elle se dit que ça c'était impossible.
Elle s'approcha doucement de la fenêtre et travers la lumière elle reconnut Jean .
Sans hésiter elle courut en direction de la rue opposée.
_Ah mon amie Jean tu es toujours dans ses combines
_Je voulais juste t'appeler pour te monter le butin.
Cette fille ça fait un bail que j'essaye de l'avoir et on a le jackpot figures toi .
Elle est sûrement vierge cette salope et c'est sûr qu'on va passer du bon temps avec elle .
Et après on disparaît pour toujours.
On a assez fait de délit .
Lana était complètement allongé dormant profondément.
_Bon passons à la besogne
Les deux hommes placèrent la fille sur le lit et commencèrent à la déshabiller.
Le faux chauffeur de taxi lui aussi se enleva son pantalon découvrant une banane déjà réveillée.
Lana était complètement nue et l'homme essaya d'écarter ses jambes.
Il approcha sa banane de la jeune fille et c'est à cet instant qu'on entendit de grands coups à la porte.
_Ne bougez plus vous êtes en était d'arrestation c'est la Police.
Ouvrez la porte .
Personne ne parla et les policiers ; quatres gros gaillards forcèrent la porte en bois qui vola en éclats.
Jean et le chauffeur ne bougèrent plus.
_Vous êtes en état d'arrestation.
Quand Jean et son ami reconnurent Diouba c'était déjà trop tard.
Elle ouvrit son sac sortit le couteau et fonça sur Jean.
Avant que les hommes comprirent ce qu'elle mijotait la Diouba lui avait déjà planté le couteau en pleine poitrine .
Le faux chauffeur de taxi en profita pour essayer de s'échapper avec sa longue taille maigrichonne mais on lui donna un direct sur le visage et il tomba sur terre près de son ami qui gisait dans son sang.
Diouba jeta le couteau et elle mit ses mains sur sa tête.
Elle venait de commettre un crime et elle savait qu'elle n'était pas encore sorti du cauchemar.
Un homme lui passa les menottes.
C'est à cet instant que Léna se réveilla .
Elle ne comprit même pas ce qui se passait de cette scène insolite .
Quelques minutes plus tard elle se rhabilla et on lui expliqua sa mésaventure .
Elle ne pouvait plus retenir ses larmes essayant d'empêcher les hommes d'amener sa cousine dans la voiture de la police garée à quelques mètres phares allumée sous une nuit lugubre et sans clair de lune d'où on entendait de loin les aboiements des chiens-loups.
Quelques curieux s'était déjà donné rendez vous dans la rue au moment où les lumières de la voiture des pompiers éclairèrent toute la ruelle .
Lana s'en sortira sûrement choqué quant à Diouba elle n'était pas encore sortie de ce cauchemar car c'est la prison qui l'attendait ainsi que le faux chauffeur de taxi.
Jean lui avait un billet direct pour la morgue.
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