Vois-tu, je menais des jours tranquilles
Peut-être même un peu trop
Je souffrais d'une grande solitude
Qui se transformait en habitude
Et je ne supportait point ce fardeau
Qui commençait à définir mon esprit fébrileAyant eu assez de ressentir ce vide au fond de moi
Je voulus trouver l'âme sœur
Qui saurait entretenir mon cœur
En chassant tout ce désarroiC'est là que mon regard croisa le tien
Je me dis à cet instant que tu étais la bonne
Que ce serait toi qui changerait la donne
Et arriverait à remplir ce trop-rienUne fois la flèche reçue et son coup encaissé
Je fis tout pour que tu m'aimes
Et ce tout en restant moi même
Je voulais que mes sentiments soient partagésAfin de briser la glace entre nous
Je fus le plus tendre, le plus chaleureux
Et le plus affectueux
Je désirais ton attention plus que toutJe ne voulais pas faire de toi mon objet
Mais tu étais l'objet de mon émoi
Dans ma tête résonnait sans cesse ta voix
De ton image mon esprit refusait le rejetJe commençais à entrevoir
Ce qui allait sûrement venir
Mais laissait le bénéfice du doute à l'avenir
En m'aveuglant avec de l'espoirPuis vint le jour où je franchi le pas en faisant le premier
Et te prononçait ces quelques mots
Qui chez toi n'ont pas trouvé d'écho
Comme je l'avais vu arriverCertes ce n'est peut-être pas la fin du monde
On pourrait se dire que je n'ai pas tout perdu
Mais le problème, vois-tu ...
C'est que tu étais devenu mon monde.
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My little collection
PuisiDans ce recueil vous trouverez mes écrits, de n'importe quels genres, histoires de lire un peu ^^.