Flashback XI

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- C'est quoi l'urgence Steve ?

- Vous êtes attendu a la salle du cabinet, le président Bishara(président du  Pakistan )patiente au téléphone.

- D'accord  allons y monsieur.

- Quesqu'il y'a  Steve je vous trouve  tendu ?

- Si je peux me le permettre monsieur, ce serait  plus judicieux  de ne pas en parler à Bishara. Il risquerait   de faire fuité  l'info, peut être même ils sont de mèche avec lui.

- Et que me proposé  vous ?

- Une frappe aérienne.

-  Je vais vous donner la même réponse, que celle  que j'ai  donné  au général Brenann. Si l'agent Chavers  est toujours dans les lignes d'Al-Qaïda, nous ne bombarderons  pas la résidence.

- Vous êtes sûr que c'est une bonne idée  ?

- je tente l'approche diplomatique ,si je peux le convaincre d'arrêter Ben Land et ses hommes, ça nous évitera l'option militaire. On exfiltera notre homme. Dès qu'il sera en cellule.

        Durant La matinée(passé) .

- Monsieur le président le général Brenann  est ici il demande une entrevue avec vous

-  Merci, Mike.Faites le entré. Général que me vaut cette visite à 8h du matin. Je viens d'avoir un différent avec la députée Park ,donc réfléchissez bien aux mots que vous allez employé.

- Pas la peine monsieur, on a retrouver Oussama Ben Laden.

- Que dites vous ?!

- Monsieur le président,nous avons retrouver Oussama Ben Laden. À  l'heure où je vous parle, il se trouve au Pakistan.

- Mettez vous et expliquer moi la situation.

-  Suite aux interrogatoires  que nous avons fait subir aux membres d'Al-Qaïda  ,les prisonniers  nous  ont mis sur la trace de Al- Kuwaiti, qui serait le messager personnel de Ben Laden. Mais chacun d'entre eux  a minimisé  le travail d'Al-Kuwaiti , au sein du groupe terroriste. Alors cela nous avons as mit sur une piste , il y a trois ans nous avons envoyer  un agent  américain,  Hugo Chavers.  Sous une couverture non officiel ,on a modifier son identité et l'agent  Chavers est devenu Sami  Serafian. Ce matin nous avons reçu un message de sa part, Chavers est parvenu à trouver la planque de Ben Laden. Les images satellites confirme la présence d'armes et de véhicules sur le périmètre.

- Et on pense que c'est leur base opérationnel ?

- Oui monsieur le président, sur vos ordres, des F-18 peuvent être déployés  depuis L'USS Eisenhower. Nous détruirons  leur défenses aériennes et les réduiront en poussière, en l'espace d'un instant.

- Où est l'agent Chavers ?

- On a perdu le contact. On lui a donné 24 heures pour évacuer, le délai  est passé depuis six heures. Si on attends qu'il refasse surface, on risque de rater l'occasion  d'éliminer cet ennemi.

- Quelle est la probabilité qu'il soit dans l'enceinte  a l'heure actuelle ?

- Très grande monsieur.

- Donc on est quasiment sur en bombardant les lieux, de tuer un espion américain.

- Il connaissait les risques.

- J'ose croire général qu'il  est aller au Pakistan pour aider  son pays, par pour que son pays le tue.

- Nous avons dans notre ligne de mire  l'assassin qui a tuer des milliers de nos concitoyens , plonger le pays dans un chao  total. Serons nous privé  de châtiment a cause d'un homme ? J'attends vos ordres, monsieur. Quels sont ils ? M. Le Président  ? Monsieur, quels sont vos ordres ?

- Nous ne bombarderons  pas l'un des nôtres. Maintenez  la surveillance du site et tenez-moi informé. On ne bouge pas tant que Chavers, on ne bouge pas tant qu'il n'aura pas repris contact. C'est bien compris ? Général, c'est compris ?

- Oui, monsieur.

- Merci à vous.

Maintenant ( présent)

-  Steve,Le Pakistan nous as soutenu après l'attentat  du 11 septembre?

- Oui monsieur.

  Le président entra dans la salle du cabinet, où il trouva le général Brenann, le général Nons,le directeur de la CIA ,Léon  Panetta ,ainsi qu'une traductrice attitré .

- Mes services de renseignement sont catégoriques.  Oussama  Ben Laden ne se trouve pas sur notre territoire.

- Sauf votre respect, M. Le président
, nos observateurs sur le terrain disent le contraire.  Nous avons besoin que vos troupes,investissent l'enceinte,  pour procéder   à l'arrestation  Ben Laden  et de ses complices.

- Vos observateurs  font erreur. Veuillez  m'excuser. Je ne peux pas vous aider.

- D'accord, M. Le président.  Prévenez  nous si la situation était amené  à évoluer, merci.

- Il ment monsieur. Dit le général Brenann.

- Enfin une chose sur laquelle nous sommes d'accord, général.

- L'armée de Bishara compte certains éléments radicaux. Ils le font croire que Ben Laden n'y est pas. Dit Steve.

- Peut être.

Le général Nons  prit la parole.   

- Monsieur notre fenêtre de tir se referme, surtout après avoir prévenu les pakistanais

- Tant qu'on ne sait pas si Chavers est en sûreté, on ne fait rien.

- Toujours rien de neuf monsieur. Mais il  lui reste 12 heures  pour prendre contact. Répondu Léon a la question du président.

- Si on n'a pas de nouvelle d'ici  là, alors  il faudra envisager le pire. Dit le général Brenann.

- C'est à dire ? répondit Steve.

- C'est à dire qu'il faudra  avoir recourt à la force, j'ai bien compris. Merci. Dit le président tout en sortant de la pièce.

SWAT Où les histoires vivent. Découvrez maintenant