J'écris, encore et toujours en pensant à toi. Les jours passent et tu n'arrives jamais à partir de ma tête. Si tu devais rentrer dans ma tête tu verrais que c'est totalement le désordre. Je déteste ce qui ce passe, j'aimerai que tu partes, à l'aide, aidez-moi.
Ce 5 janvier, un jour froid, humide, et pourtant tous joyeusement beau. On arrive à voir les oiseaux sur les arbres et j'entends et toujours la musique dans mes écouteurs, tant dis que ma mère m'emmena à toi. Tu m'attendais, fixer à un téléphone, une cigarette à la main, comme si ça ne changeait pas de ton habitude. Je te vis assise, souriante et bien coiffé. Bien que j'avais penser à pire, j'étais tellement ravie pour une mâtiné d'hiver. Tes hanches me faisait déjà craquer, alors que je n'avais jamais vu ton corps en entier. J'aimais les surprises et les découvertes, surtout à ton égard. Je te voyais manger, sourire, rigoler, parler, regarder ton téléphone. Tu étais la plus charmante de toute quand on savait d'avance qu'on allait être aussi complice et être dans la vie de l'autre pendant ses quelque mois heureux. Tu aimais me regarder je le savais, alors j'en profitais pour faire celle qui ne voyait pas ce que tu faisais, malgré que cela plaise, j'aimais te plaire, et tu aimais cela également me plaire.
Nos conversations s'entremêlaient avec les heures et le magnifique temps hivernale qui nous entouraient me surprenait. Ton sourire m'émerveillait comme un rayon de soleil, donnant un peu de lumière à ce sombre ciel. Chacun de tes pas me donnaient encore plus envie de me rapprocher de toi, contrairement à tous ce qu'on pouvait penser de ma personne, je savais d'avance que ce que je pouvais ressentir à ton égard n'allait pas être temporaire, malgré tous ce qu'on pensait de moi à cette époque.
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à toi, mon amour pour toujours.
Romanceje n'aurai jamais pu t'aimer de cette manière ni penser à te rencontrer mais pourtant cela s'est fait.