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L'heure de fin commençait à arriver, "tic-tac" dans ma tête retentait, je ne voulais pas. Un bisou sur ta joue, un bisous sur la mienne, et tu me laissa au loin. Mon cœur ce mit à avoir mal, comme si on m'enlevait quelque chose d'important, ou quelque chose qui me tenait à cœur. J'avais automatiquement compris que c'était toi, la chose importante, que je me doutais pas du tout d'ailleurs.Tu me parlais le soir, un grand sourire aux lèvres, je le savais. Puis la routine s'en suivait, et je ne soupçonnais pas la suite de cette journée. Les appels, les messages, ton sourire en photos, tes belles paroles, mais aussi très enivrante, me poussait encore plus à t'aimer, comme si cela n'était déjà fait, de moins ce que je pensais. Je ne parlerais pas donc des autres jours continuant sans te voir, le manque était persistant.

19 Janvier, à notre deuxième rencontre. Airs tendus, tête baissés, ce n'était pas le meilleur des jours, pour moi, également pour toi. Je savais d'avance que le soir tu allais me laisser, ce qui était arriver. J'ai tous fais pour que tu restes, mais cela ne marchait pas, je le voyais très bien. Alors je te laissais, à contre cœur évidemment, même si je n'avais pas spécialement le choix. Mon coeur ressentait quelque chose qu'il n'avait jamais subis ou ressenti auparavant, il se brisait tellement fort d'un rien, que je croyais vivre pour toi.

à toi, mon amour pour toujours.Where stories live. Discover now