Ce que j'avais aimé chez Freya, ça n'avait pas été ses cheveux blonds qu'elle laissait couler sur ses omoplates, son rire sincère ou ses grands yeux qui analysaient chacune de mes conneries.
Ca avait été son aura. Cette impression qu'elle donnait, en la regardant, que la vie était un jeu et qu'on avait la chance d'y jouer. Que la vie était une grande fête et qu'il fallait la vivre à fond où ne pas la vivre du tout.