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    Nous parlions en anglais parce qu'elle venait d'Allemagne ; partie explorer la ville de l'amour, du romantisme, parfois elle me prenait la main, montrait l'étendue de la ville et me disait que cette ville était bien la ville de l'amour.

    Elle voulait apprendre le français, pas pour le parler, mais seulement les jolies expressions. Elle écrivait des cartes postales qu'elle décorait de phrases un peu jolies, un peu mélancoliques, aussi. Ses préférées, c'était "l'appel du vide" et "la douleur exquise". 

    La dernière lui allait bien.

FreyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant