The end of the World

Jour 1/5 : la rencontre

J'avais passé la nuit dehors;
Sans craindre d'être dérangé par le froid ou le bruit. Je voulais dormir à la belle étoile, enfin pour dire vrai il y avait trop de lumière donc je n'ai pas vue beaucoup d'étoile.

Je me levait du banc sur lequel j'avais passé la nuit , mon dos et ma nuque était douloureux mais je m'en fichait. Comme petit déjeuner je dégustais quelques biscuit emportés la veille.

C'était bizarre de se retrouver là sur un banc à manger des biscuits cinq jours avant la fin du monde comme si tout était normal. Qu'est-ce que j'allais faire maintenant? Je n'en avait aucune idée. Je laisserais probablement mes pas me guider ou bon leur semble, je pourrais pas voyager malheureusement car les pilotes d'avion les conducteurs  de trains et les chauffeurs de bus était probablement rentrés chez eux et n'exerçaient plus leurs fonction.

Je vagabonderais donc dans Paris sans savoir où aller, et sur cet réflexion je me levais de mon banc et m'en allait à travers la ville.

~

J'ai toujours pensée que le hasard n'existait pas et que tout a toujours été prévue depuis le départ, que notre existence n'est qu'une partie d'échec dans laquelle la vie a toujours un coup d'avance.

C'est donc sans aucun hasard mais plutôt avec une grande gratitude de la part de la vie que ce matin là j'ai rencontré la fille la plus extraordinaire de la planète.

Mes pas et mes pensée m'avaient mené près d'une petit place dont j'ai totalement oublié le nom. Je m'amusais à regarder les voitures passer; pour une fin du monde il y avait comme même drôlement de voiture dans Paris.

Devant il y avait une fille de mon âge d' à peu près ma taille, elle avait des cheveux blanc qui virait sur le gris et portait des vêtements blanc également.
Dans ce décor de fin du monde, elle semblait irréelle.

Comme moi elle observait le passage des voitures, mais pas par simple plaisirs, juste car elle voulait traverser.

Une; deux; trois; quatre; cinq;   Sept...

A la onzième le feu piéton passa au vert, elle s'avança donc comme toute personne qui désire traverser un trottoir.

Et moi j'avais vue la douzième voiture qui arrivait à toute vitesse. Qu'est-ce je pouvais faire ? Je ne pouvais pas la laisser se faire écraser par une voiture !

C'est alors que pris dans soudain élan de courage (vous savez ce qui se produisent et qui vous font sentir courageux et puissants alors qu'en fait vous êtes totalement stupide) que j'ai courue comme si j'avais le feu au trousse; j'ai empoigné la fille et l'ai ramené vers le trottoir; la voiture l'avait presque frôlé et je lisais à présent la peur dans ses yeux.

« c'est pas parce que dans cinq jour c'est la fin du monde qu'il fait mourir maintenant ! » ai- je dit

J'avoue je ne sais pas pourquoi j'ai sortie cette phrase. C'était stupide on allait tous mourir et pas plus tard qu'en fin de semaine; donc à quoi bon ?

Elle me regardait toujours avec des yeux ronds. Je lui ai sourie puis je me suis présenté :

« - enchanté , Theo Laguarde . Et toi ?

- Mélina Nell.

- he bien Mélina qu'est ce que tu fait sinon à part te faire écraser par des voitures. »

Vous avez trouvé cet phrases nul. Moi aussi mais j'avais terriblement envie d'amorcer la conversation avec elle, et comme je ne savais pas quoi dire et bien j'ai dit une phrase nul. D'ailleurs elle a légèrement froncé les sourcils avant de me répondre.

« -hé bien étant donné que il nous reste plus que cinq jours à vivre je compte à défaut de découvrir le monde découvrir Paris. Et toi ?

- je compte les vivres comme un roi ces cinq derniers jours !

- Sinon dis moi tu n'aurait pas une idée de l'endroit où se situe Montmartre, j'aimerais y aller ?

Qu'est ce que j'ai fait à votre avis ?
Je l'ai accompagné.