Les questions.

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Zen n'avait même pas eu le temps poser de questions que spytz se lève et se rapproche de lui, tout le corps tremblant. Il se place devant zen et parle d'un ton inquiet :

Spytz : Euuh... Mec. J'ai vraiment pas envie de parler de ce qu'il s'est passé, je ne me contrôlait plus, et en réalité je ne sais même pas pourquoi j'ai réagis comme ça !

Au fond de lui, Spytz commençait à comprendre ce qu'il se passait, il commençait à se rendre compte que ce qu'il ressentait pour Zen était plus que de l'amitié, mais il préférait ne pas lui en parler.

Zeneko prend les mains de spytz avec à la fois vitesse et tendresse :

Zen : Écoute Spytz, toi comme moi avons compris ce qu'il s'est passé. Si tu as quelque chose à me dire, dis le moi, je ne veux pas que tu te sentes mal.

À ce moment là, Spytz était presque en train de pleurer. Et avec ses mots les plus simple, il lui annonce :

Spytz : Zen, ce n'était sûrement pas rien ce qu'il s'était passé tout à l'heure, si je n'ai pas réagis c'est car ça me plaisait bien, que tu t'allonges contre moi. Je le découvre peut être un peut tard, mais je t'aime Zen !

Dans son chagrin, Spytz saute dans les bras de Zen, et les deux jeunes hommes se font un grand câlin.
C'est après cela que Zen prend la parole :

Zen : Je trouvais ça étrange, moi, au début. Mais tu es quelqu'un d'incroyable spytz. Malgré qu'on ne se connaisses pas beaucoup, j'ai le sentiment qu'on tien beaucoup l'un à l'autre. Tu accepterais qu'on sorte ensemble ?

Sans rien dire, Spytz saute une deuxième fois dans les bras de Zen, et les deux garçons s'embrassent lentement.

Spytz : je ne veux pas repartir chez moi ! Je veux rester ici avec toi toute ma vie !

Zen : je t'inquiète pas ! On va tout faire pour ça.

Ils se regardaient tous les deux avant de se poser des questions et discuter sur le sujet pendant plusieurs heures, avant le moment qu'il attendaient, le moment d'aller dormir.

Zen : alors euh... On dort ensemble ?

Zen comme naît à rougir très fort.

Spytz : comme tu veux ! Personnellement ça ne me dérangerait pas.

Zen : parfait alors, allons y !

Avec une part d'hésitation, les deux jeunes homme s'allongent côte à côte
dans le même lit.

Un silence s'installait très rapidement, ils regardaient chacun d'un côté sans rien dire de plus.

Spytz pris Zen dans ses bras, et s'endormit dans cette position.

Une longue et agréable nuit passait, le lendemain, au réveil de spytz, zen n'était plus sur le lit, certainement en bas en train de rien foutre.

Spytz crie alors : ZEEEEN (:3)

??? : ptn aïe !

Il était sous le lit.

Un malaise s'installait, puis spytz sortit un : "ça va ?" très discret, pas de réponse, il décide de regarder sous le lit.

Zen : comment je me suis retrouvé là ?

Spytz ! Commence par sortir...

Ils était l'un en face de l'autre, prêts à parler quand soudain..

Ding dong 🎵

...
...
...

Zen : qui va ouvrir ?

...
...

Spytz : j'y vais..

Spytz : il n'y a personne... Ça fait trois fois dans la semaine...

Zen : t'es sûr de bien avoir réglé la sonnerie ?

Spytz : il va falloir que je vérifie.
En tout cas, je dois encore aller au stade bmt aujourd'hui, je devrais te laisser...

Les deux garçons se prirent dans les bras.

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 01, 2019 ⏰

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