Salamander

Chapitre V

Les rayons de soleil traversèrent les rideaux et vinrent s'écraser sur le visage de Natsu qui était toujours dans la même position que la vieille. Il grogna et se redressa, il avait une douleur affreuse au dos.

- Note à moi même, se mettre bien en position de dodo avant de dodo.

Il se leva et sortît de sa chambre. Il se rendît à l'étage du dessous puis dans la salle à manger. Le petit déjeuné l'attendait sur le table. Il s'assît mais ne mangea pas. Il attendait Roméo. En parlant de celui-ci, il faisait son entrée en bâillant.

- Bonjour Natsu, dit il

- Yo Roméo.

Il s'assît et les Dragneel se mirent à manger.

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Natsu fît un signe de main à Roméo et partît dans sa voiture. Il partait pour Argeon, tuer un homme qui s'appelait Ryota.

Il démarra et c'est partit pour cinq heures de routes.

Cinq heures plus tard, Natsu arriva. Il resta dans la voiture pour observer les faits et gestes de l'homme aux cheveux noirs.

- Pizza aux quatre fromages. Avec du coca. Exact ! Dans quinze minutes ! Super ! réussît il à entendre

Il resta dans sa voiture et attendît le livreur de pizza.

Quinze minutes plus tard. Un homme en moto arriva. Natsu descendît discrètement de la voiture et se mît derrière le livreur. Il lui cassa le cou, il mourut sur le coup, il cacha le corps. Il se rendît devant la porte et sonna.

- Pizza ! entendît il la voix de l'homme

Natsu sourît sadiquement.

La porte s'ouvrît. Natsu découvrît un homme aux cheveux noirs et les yeux bleus.

- Bonjour, dit il

- Bah... bonjour... et mes pizzas ?

- Ah non, moi je suis venu apporter autre chose.

- Ça s'mange ?

- Hmm, je n'crois pas. Mais par contre, ça peut vous apporter la paix éternelle.

- Bah, ok. Entrez.

Il se décala et Natsu entra.

- Je vis seule, donc désolé pour le bazar. Surtout que j'adore faire des fêtes. Donc c'est rare que ma maison soit rangée. Ne vous dérangez pas, asseyez vous. Je vous ramène à boire.

Natsu alla s'assoir, Ryota disparût dans la cuisine.

- Bière ou jus de fruits ! cria t-il

- De l'eau plate, ce sera tout.

- Ok !

Ryota revint avec un verre d'eau et une bière. Il passa l'eau à Natsu.

- Donc, vendez moi vos produits.

- Mais je n'ai aucun produit, dit il en posant son verre sur la table basse

- Bah, vous m'avez apporté quoi ?

- La paix et la paix est immatériel mais elle existe.

- Ouais ça j'le sais. Vous êtes un témoin de Jéhovah ?

- Je ne suis pas croyant. Enfin si, mais je ne crois qu'en moi même.

- Ah ok. Vous voulez me rendre hâtée ?

Natsu sortît discrètement son arme.

- Vous parlez beaucoup...

- On m'le dit souvent !

- Et moi...

Son regard s'assombrit. Le fêtard commença à se méfier. Natsu se leva.

- Les gens qui parlent trop... j'aime pas ça...

Il leva la tête et montra un sourire carnassier à Ryota. Il prît peur et resta pétrifié sur son fauteuil.

- C'est pour ça...

Il pointa son revolver vers lui.

- Que j'les supprime !

Il tira. Un coup, puis deux, trois. Il ne s'arrêta pas. Il était hilare, il ne pouvait plus s'arrêter de rire.

- Meurs ! Meurs ! Meurs !

Il essaya de tirer mais rien ne se passa. Il regarda son arme avec des yeux écarquillés.

- Plus d'balles ! J'ai gaspillé toutes mes balles !

Il regarda l'homme. Il était inerte. Il était mort.

Natsu eût un grand soupire avant de sourire.

- C'est tellement jouissif.

Et il repartît en riant.

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La police arriva sur le lieu du crime cinq minutes plus tard, les voisins les avaient alertés.

- Ils avait des cheveux roses ébouriffés et un sourire méchant aux lèvres, décrit une vieille femme

- Officier Drear, encore un coup de Salamander ? dit une policière aux cheveux blancs

- Oui Mirajane, il serait peut-être temps d'arrêter cet assassin qui court toujours les rues de Fiore.

- Ça fait cinq ans qu'on essaye de l'arrêter. Vous croyez qu'on va le faire maintenant ?

- Je crois en moi. Et surtout, je crois en lui...

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Un homme aux longs cheveux verts et aux yeux noirs sortît d'une cellule, il avait un sourire amusé aux lèvres. Il se fît escorter par des policiers.

- Orga Nanagia. Enfin libre ? dit le garde chargé des affaires des détenus

- Enfin, je suis pressé d'être dehors.

- Ok, un neuf millimètre déchargé, un pistolet-mitrailleur, une dague. Tu n'as ramené que des armes ?

- En même temps vous m'avez ramené ici j'étais en plein crime. Fallait choisir un de mes jours de congé.

- Ha ha, rit ironiquement le garde, très drôle. Allez file.

Il prît ses armes et on le dirigea vers la sortie.

Une voiture de police l'attendait. Il alla vers elle.

- Fernandes, dit il

- Nanagia. Allez grimpe.

Orga ne se fît pas prier et monta.

- Et c'est partie pour une nouvelle vie, dit le vert

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Je poste avant le brevet 😊