Toujours aussi gentille ! - Tu sais Tadaomi , je n'ai pas changée depuis la dernière fois
Il m’accorda le plus grand privilège, de m’offrir l’un de ses rares sourires ce qui à pour don de me faire rougir. Il ouvrit la bouche pour parler mais ce fit interrompre par la porte qui s’ouvrit. Un poulpe jaune arrivait avec son grand sourire niai. Comme un réflexe je me précipitais sur lui et lui trancha trois tentacules avant qu’il ne se déplaçais à Mach 20 de l’autre côté de la pièce coincer entre le plafond et le haut de l’étagère.
« Alors c’est donc vous la nouvelle professeure, on dirait que vous êtes efficace !
- On peut dire ça comme ça, dis-je en fermant la porte
- Vous ressemblez beaucoup à un de mes élèves…
- Vous devez penser à Karma peut-être
- Oui en effet
- Figurez-vous qu’il s’agit de mon frère
- Quoi ???!! fit-il en tombant de sa hauteur
- Et (T/P) et moi nous connaissons depuis l’enfance si cette information peut vous être utile, dit l’homme en reprenant son texte
- Hoo, intéressant, dit la créature en virant au rose
- Vous êtes bien étrange
- Tutoyez moi et, je nomme Koro, ce sont mes élèves qui mon donné ce nom, sympa non ?
- Il vous va à ravir, moi c’est (T/P) (T/N) »
Je lui serrais un tentacule lorsqu’on toqua à la porte
« Mme Pouf ? Vous êtes là ? »
Koro allait répondre aux jeunes filles et j’en profitais pour continuer de parler à mon ami, qui, était toujours concentré sur ordinateur
« Tadaomi ?
- Hum ?
- Vous avez des instruments ici ?
- Le ministère nous a fait parvenir tous les instruments que tu leur avais demander, donc oui
- Super ! Et où sont-ils ?
- Dans une salle au bout du couloir à gauche. Tu veux que je t’accompagne ? dit-il en levant enfin le nez de ses notes
- Non t’inquiète pas merci ! A tout à l’heure ! dis-je avec mon grand sourire habituel
- Oui à tout à l’heure… »
Koro était parti dehors avec des élèves. La classe était dispersé un peu partout pendant leur pause, je traversais le couloir mais n’en croisa aucun. J’atterri devant ma salle. Tous les instruments étaient bien ranger et commençais à prendre la poussière. J’étais peut-être une assassine mais la musique restera toujours quelques choses de sacrée pour moi. Je pris délicatement un violon, ferma mes yeux et commença à jouer me laissant bercer par les notes se succédant sous l’effet de mes doigts. Lorsque je les réouvris une trentaine de paires d’yeux étaient tournés vers moi et tous commençaient à applaudir. Je vis Karma adossé sur le rebord de la porte me fixant un grand sourire aux lèvres... enfin un sourire à ça façon...
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