chap 12

3.6K 341 12
                                    

Zoya fit les gros yeux. Quoi?! Resté piégé dans ce palais jamais! Elle ferait tout pour connaître son chemin et dès se soir. Ravi de ça elle fit un grand sourire à Afssan qui ne se doutait de rien. Il admira se sourire comme si c'était une rosée matinale perlant d'une rose. Il devenait poétique. Quelle histoire,cette fille était un délicieux danger pour lui. Il allait se fixer un défit. Jusqu'à quand allait il résister.

Zoya retourna dans sa chambre complètement épuisé mais avec deux bonnes résolutions. Se sultan était mystérieux certes mais il était trop tout le temps de mauvais poil. Elle ne comprenait pas pour quoi il était tout le temps de mauvaise humeur. Zoya avait un grand coeur et il la blessait avec se comportement sans savoir. Elle soupira pour la millième fois de sa vie en deux jours. Il fallait qu'elle parte de cet endroit. Elle alla prendre un bain. Sauf que après le bain elle eu la merveilleuse idée de commencer son exploration à l'instant.

Elle s'entoura donc d'un peignoir ouvrit sa porte silencieusement et commença à marché par hasard dans le couloir alors que les lumières étaient éteinte heureusement qu'il y'avait une belle pleine lune. C'était vraiment stupide de sa part de chercher la sorti dans la nuit ! Afssan qui n'était pas encore endormi entendit des pas qui se voulais discret en avançant vers ça chambre. Il avait refusé qu'une garde surveille sa porte.

Il en avait plus jeune mais maintenant il s'était entraîné à se défendre d'où ses muscles saillants et ses cicatrices venant des guerres contre les rebelles. Il n'en avait plus besoin depuis fort longtemps. Le sultan pris son magnifique sabre et sorti par l'une des au moins 5 portes que comportait sa chambre pour l'effet de surprise. Soudain il balança son sabre avec précision pour venir s'arrêter juste à côté du cou du suspect ! Qui voulait lui faire un coup d'État peut-être.

Le roi ne savait pas que c'était zoya. Celle ci poussa un cri, un grand cri de terreur. Affsan compris alor que c'était elle. Il laissa son sabre tomber. Et alla rallumer la lumière pour être sur qu'il n'hallucinait pas ! Et ce qu'il vit lui glaca le sang. Zoya était en état de choc et tremblait de tout son corps. Une peur immense pouvait se lire dans ses beaux yeux. Il n'allait bien sûr pas la tuer ! elle ou qui conque c'était pour effrayer, il était d'une grande précision donc rien était à craindre. Mais cela n'empêche que c'était une jeune femme apeurée qui se trouvait devant lui.

Elle ne bougeait toujours pas. Elle était debout les yeux dans le vide. Il voulut la toucher pour voir si elle allait bien ? Et lui demandé se qu'elle foutait devant sa porte mais il n'eut pas le temps. Zoya s'effondra inconsciente. C'était comme si le coeur d'Afssan s'éclatait en mille morceaux. Il la rattrapa avant qu'elle n'eut toucher le sol et couru la ramené à sa chambre pour appeler le docteur.

Zoya était sans aucun doute trop fragile non seulement elle était gardé contre son grès dans se palais mais le sabre c'était la goutte d'eau qui l'avait fait craqué. Elle avait essayé d'être courageuse et de ne pas se laisser aller pour éviter cette crise. Mais son corps l'avait lâché. Elle venait d'avoir la peur de sa vie.

Afssan couchat zoya qui respirait a peine. Il avait le coeur qui battait vite et les yeux embués. Qu'avait il fait ! Et se docteur il était où. Il réveilla tout le palais et se mit à gronder contre qui conque ne lui disait pas que le docteur était déjà là. Le docteur fini par arriver quelques minutes plutard pour trouver un sultan presque fou.

-vous attendez quoi docteur !! Ça fait 8 minutes que je vous attends !

-Votre altesse je n'habite pas à côté j'ai fait de mon mieux pour vite arrivé. Maintenant s'il vous plaît éviter de criée et laissé moi l'examiner.

Cela ne calmait en rien Afssan mais si c'était pour que ça aide le travail du docteur il était près. Zoya avait pali tout d'un coup. Alors que son teint était un peu plus lumineux d'habitude et même un peu bronzé parfois. Il passait son temps à la regarder et à enregistrer les moindres parcelles visibles de son magnifique corps. Le docteur pris la tension de zoya. Pendant se temps Afssan c'était assis près de zoya et lui tenait la main. Elle était si douce. Et si petite dans la sienne.

Elle était élancé mais avait de petite main et de petit pied. Il lui caressait les cheveux avec douceur. Ses beaux cheveux. Ils étaient tellement proche à cet instant. Mais elle ne le saurait jamais. Elle se réveillera et aura tout oublier. Même si le médecin royal le regardait bizarrement il s'en foutait il déposa un doux baiser sur le front de zoya en signe de remord et d'excuse puis releva des yeux froid d'une profonde culpabilité vers le docteur.

-Alors à part l'etat de choc à telle quelque chose ?

- Effectivement je crains qu'une forte émotion de peur l'ai plongé dans cet état de choque. Sa pression artériel est très haute et pour une personne comme elle ce n'est pas bon signe.

- Vous voulez dire quoi par une personne comme elle ?

- Et bien elle souffre d'une grande fragilité corpusculaire. Pour les personnes comme ça changer d'environnement ou avoir trop d'émotion peut leur généré des crises.

C'était comme un coup de massue pour Afssan. Il savait que zoya était fragile mais là.... Et lui qui l'avait traité avec une attitude si désobligeante. Il s'étonnait même quelle n'est pas craqué plus tôt. Il s'
envoulait tellement à cet instant mais le mal était déjà fait.

un documentaire sur le sultanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant