chap 15

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L'après midi arriva bien assez tôt et zoya alla attendre le sultan dans le grand salon. Celui ci la rejoignit quelques minutes plus tard plus beau et plus virile que jamais dans son habit traditionnel. Il tendit a zoya encore une fois un voile.

-Merci mais le voile c'est pour quoi ?

-c'est pour vous protéger contre la poussière et Pour compléter votre habillement.

En vérité zoya n'en avait pas besoin elle était occidentale et pouvais porter se qu'elle voulait sauf que ça la mettait trop en,valeur et il ne voulait pas que d'autre homme la regarde à part lui. Il savait que c'était absurde mais depuis qu'il avait vu comment ses gardes la regardait il était devenu jaloux. C'était son invité à lui ! Bien que se soit maigre comme explication.

Zoya ne voulait pas le contrarié donc elle pris le voile et le mit même si elle était déjà en manche longue. Ils se dirigèrent vers les écuries. Elle n'était pas encore venu dans cette parti du palais. C'était tout aussi magnifique. Les chevaux était beau et majestueux dommage qu'elle ne sache pas monter. Elle soupira de désespoir et entendit la voix d'afssan lorsqu'elle était entrain de caressé un magnifique cheval brun. Soudain elle senti une main à côté de la sienne. Qui carressait le cheval aussi. Elle se retourna et vit Afssan qui souriait. Il avait de magnifique fausette.

-je peux vous apprendre si vous voulez ?

Le visage de zoya

- S'illumina ah bon pour de vrai ?

Ces yeux étaient encore plus magnifique lorsqu'elle était excité.

- Oui mademoiselle. Mais pas maintenant.

Zoya fit la mou et le suivit vers un autre cheval tout aussi magnifique.

- Je vous présente éssan. Il tapa sur le flanc de son cheval qui était plutôt ravi de le voir. Il le sorti pendant que zoya retourna les yeux pour admirer le cheval qu'elle venait de voir comment pouvait elle l'appeler ?

- zoya j'ai dit plus tard ne vous en faite pas.

Il était tout près elle le savait par ce que son souffle caressait son cou elle avait chaud et froid en même temps.
Elle voulut se retourner mais Afssan lui bloqua la taille. Elle se retrouva dos collé à son magnifique corps bien sculpter. A quoi jouait il ?

-Maintenant..... dit il au creux des oreilles de zoya. On va monter faire une balade sur essan. Il la souleva  et la déposa sur le cheval en moins de deux. Zoya n'était qu'une plume pour lui. Tenir sa taille lui avait envoyer des frissons. c'était tellement bon il avait envie de la serrer encore plus contre lui mais il ne voulait pas la brusquer chaque chose en son temps. Il monta à son tour sur le cheval zoya regardait en bas. C'était quand même un peu haut... Elle sentit des bras ferme à nouveau lui entouré la taille. La même chaleur l'envahit a nouveau.

- Si tu restes bien adossé à mon torse tu ne tomberas ne t'inquiète pas en plus je te tiendrais fermement. Ah ça.....il la tenait fermement. Epuis il la tutoyais en plus était ce dû à leur proximité ? Elle ne se posa pas plus de question et se cala confortablement sur Afssan tout en admirant le spectacle. Elle ne se doutait pas un instant du martyr que souffrait le sultan à sentir sa personne si féminine sur lui et son parfum différent de ceux des femme indiennes l'enivrait encore plus. Il luttait pour ne pas s'arrêter dans un coin tranquille la retourner et l'embrasser sauvagement. Zoya ne savait pas ce qui se passait mais une certaine tension montait en elle le parfum virile de son hôte ses pectoraux qui lui caressait le dos à chaque secousse. Elle décida de brisé le silence ça devenait presque électrique...

- Alors on va où?

- Dans un centre de jeux pour enfant. Il se redressa et se mit au trop pour vite arriver et se séparer de ce corps exquis par peur de commettre l'irréparable. Zoya quant à elle fut un peu déçu de vite arrivé. Afssan la descendit calmement devant la grande bâtisse multicolore on aurai dit que c'était un enfant qui avait choisit les couleurs. Il lui pris la main pour la guider il était soudain très heureux. Lorsqu'il s'avançait il vit une petite fille caché derrière un manège.

- Qu'est ce que tu fais là?
Ça voix était soudain plus douce et attentionnée. Il pris la fille dans ces bras.

-vous êtes le prince charmant. La petite fille ouvrit la bouche et les yeux en grand.

-plutôt le roi charmant. Mais comment tu t'appelles et qu'est ce que tu fais ici?

-je boude contre papa!il veut pas m'envoyer à l'école comme mes camarades. Des larmes c'étaient mis à couler sur les joues de la petite fille le sultan s'empressa de les effacées. Et pour quoi il ne veut pas ma belle?

-par ce qu'il est pauvre c'est pas sa faute il est quand même génial grand et fort comme toi. La petite lui fit un câlin.

Afssan rit mais repris son sérieux il ne pouvait pas laisser faire....

Zoya elle était restée en retrait et regardait la scène émue maintenant elle était sûre se roi n'était pas méchant ni un vendeur de femme ni mauvais peut être un peu bipolaire mais très gentil au fond.

Afssan tourna la tête et vit zoya si belle entrain de regarder la petite fille avec tant d'amour et de compassion qu'une émotion sans nom le transperça.

- Tu vois la tata laba....il montra du doigt zoya va jouer avec elle je vais régler le problème de ton père d'accord?

-oui je vais bien m'amuser avec tata la fée elle est si belle.....

- je suis bien d'accord avec toi,ma poupée il descendit la petite fille et alla appeler un de ses conseillé

un documentaire sur le sultanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant