chap 6

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Ce qui troublait plus que tout Afssan c'était sa beauté.... Il fut pris d'un soudain élan possessif quand il remarqua que tous ses gardes avaient les yeux braqués sur elle et la conduisit à son bureau. Où aucune femme n'était jamais rentré....

- Alors mademoiselle vous allez m'expliquer ce que vous venez faire ici ?

Zoya sursauta ça voix était si imposante et glaciale. Zoya commença à lui expliqué son plan de documentaire en omettant bien sur qu'elle était là aussi pour les femmes qu'il vendait. A sa grande surprise Afssan l'écoutait attentivement. Si c'est ce que pensait zoya elle se trompait pour moitié. Bien sûr qu'il l'écoutait mais il regardait surtout ses belles lèvres pulpeuses et rose. Elle était vraiment agréable à regarder Afssan ne pouvait pas la gardé dans une prison. Jamais ! En attendant de découvrir ses plans et qui elle était....que ferait il d'elle. Il décida d'abord de savoir si c'était pour obtenir ses faveurs qu'elle était là. Après le discours de zoya toujours craintif face à cet homme dont il émanait virilité et charisme mais aucune compassion ni émotion, Afssan étendit sur ces lèvres un sourire mesquin. Zoya en eu des frissons. Elle se surpris à le trouver séduisant et rougis. Afssan le remarqua et pensait de plus en plus a la théorie du charme car ça par marchait bien. Il avait juste envie de capturé ses lèvres là tout de suite.

- Alors comme ça vous êtes là pour faire un documentaire sur moi et mon peuple ? En êtes vous sur ?

- bien-sûr. Votre euh majesté.

- Et c'est la seul,chose qui vous a conduite ici ? ! Zoya pris peur savait il qu'elle venait dénoncer aussi son trafic de femme ? Devant sa gêne dont il se trompait sur les causes, il sourit un peu plus.

- Donc vous n'êtes pas là pour me faire du charme ?!

  Zoya bondi de sa chaise. Était il fou ?

-  Jamais monsieur. Je ne suis pas folle !

Afssan fut surpris par ça réaction avant que ses yeux ne commence a s'assombrir de colère. Aucune femme ne lui avait jamais fait un tel affront elle voulait dire quoi par folle ?

- Vous voulez dire quoi par vous n'êtes pas folle mademoiselle ??

Zoya reculait Maintenant de sa chaise tandis que Afssan lui avançait.

- Je ne suis pas assez folle pour me jeter dans la gueule du loup.

Décidément cette femme disait quel n'était pas folle mais elle en avait tout l'air pour l'instant Afssan s'énervait de plus en plus.

- Quel loup mademoiselle... ?

- Vous voyons ! Elle ne faisait que reculer elle était complètement paniquée. Le sultan ne comprenait plus rien. Zoya se mit à pleurer dans quoi c'était elle fourré il allait la vendre c'était sûr. Voir ses larmes déchira le coeur à Afssan sans raison.  Il s'approcha un peu plus pour essayer de la rassuré mais cela empirait la situation. Soudain elle se retrouva coincé contre la porte et il Agrippa ses faibles épaules qui tremblaient.

- S'il vous plait ne me vendez pas. Je vais m'en aller j'annule le documentariste s'il vous plaît. Elle releva la tête les yeux embués de larmes pour voir que le souverain l'avait relâché et c'était éloigné brusquement. Quoi ?!  Mais qu'est ce qu'elle racontait !! Lui ?  vendre les femmes....même si il ne les aimait pas il n'allait pas les vendre.

- Vous êtes sur que vous n'êtes pas folle ?! S'énerva t'il. Zoya avait toujours les yeux baissés et tremblait d'effroi. Alors c'est ce qui lui faisait peur. Bon sang où avait elle entendu de tel absurdité.

- Je ne vend pas et je n'ai jamais vendu de femmes.

La jeune femme en face de lui leva son beau regard qui était totalement étonné et qui ne semblait pas croire une seul parole de se qu'il disait.

- C'est faux je sais que vous me mentez.

Un rire amer sorti de la gorge d'Afssan.

- Ah bon ?!  Vous me connaissez peut être ? Je crois que non alors comment pouvez vous portez  un tel jugement sur un homme noble comme moi et de plus un sultan. Il s'était redressé de tout c'est 1 mètre 90. Répondez....

Son ton était sans appel. Les larmes de zoya recommencèrent à rouler sur ses joux. Bon Dieu jouait il la comédie ou était il sincère. A vrai dire lorsqu'elle l'avait vu et avait entendu tout ce que son peuple disait sur lui, il n'avait pas le profil d'un vendeur de femme. Mais et si c'était le cas. Pendant qu'elle était perdu dans ses pensées le sultan c'était avancé de nouveaux. Zoya sentit une légère pression ferme sur son menton qui l'obligeait à relever la tête. Lorsqu'elle croisa les yeux noirs du sultan elle en fut hypnotiser. Les yeux bleu de zoya avait le même effet sur Afssan mais pour le moment....

- Qui vous a dit ça ?
Voyant qu'il était mécontent zoya n'allait pas dire son oncle. Il pouvait le rechercher épuis vu qu'il était proche de la famille royale... Elle réfléchie à toute vitesse car il la fixait toujours intensément et ses joux s'empourpraient. Il fallait qu'elle se défasse de ses doigts dures qui insinuait une chaleur inexplicable dans son corps.

- Des gens réussit telle à articuler.

Il la fixa encore plus intensément et s'approcha plus près de son visage. Ce qui lui permis de sentir son doux parfum différent de ceux que les femmes indiennes portait.

- Eh bien je tiens à vous dires que c'est totalement faux. A moins que vous soyez la première je n'ai jamais vendu de femmes. Ces yeux lançait des éclaires. Zoya frémi fasse à ce regard. Voyant qu'elle avait de plus en plus peur néanmoins il s'éloigna d'elle et reviens à son bureau maintenant  qu'allait il faire d'elle ?  une chose était sûr il voulait lui enlevé cette idée dans la tête pour quoi ? Il ne savait pas.

un documentaire sur le sultanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant