A la Nouvelle-Orléans

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Unefois arrivés on me laissa m'installer dans ma chambre qui est quandmême spacieuse et bien décorée : sol en bois un grand lit enbois de cèdre peint en blanc avec à coté, entre la fenêtre et lelit, un petit lit-probablement pour Rebecca- un dressing et sur laface où il n'y avait pas de porte et qui n'est pas un mur extérieurun canapé avec deux angles noir et des coussins blanc et gris. Il yavait aussi une grande armoire et sur le mur contre lequel il y avaitles lits on trouvait aussi une petite télé et une porte pouraccéder à une terrasse. Au milieu de la pièce, il y avait unimmense tapis qui représentait le yin et le yang et partout dans lapièce se trouvaient des poufs de différente taille soit gris, noirou blanc. La tapisserie était grise. Mais je ne me sentais toujourspas chez moi car, je voulais être avec ma fille, Rebecca me manquaitatrocement. Freya revint, me demanda de me changer et de mettre unelongue robe blanche, je m'exécuta et pus enfin voir l'intérieurdu dressing qui était magnifique, j'avais au moins une centaines detenues différentes et réussis facilement à trouver celle demandéepar ma tante, me changea et du reflet remarqua que cette tenue étaitla première d'une longue liste de favorites. Quand je sortis, tatame prit tendrement la main et m'emmena dehors, me demanda dem'agenouiller au centre d'un pentagramme, ce qui m'effraya au plushaut point mais elle me rappela que les vampires sont censés êtredes démons, ce que j'avais oublié. Au bout de cinq minutes, elle medit que l'on attendais mon père et celui ci à la prononciation deson nom, pointa le bout de son nez et me donna deux minutes Rebeccaqui dès qu'elle me vit se mit à sourire- je devais énormément luiavoir manqué- puis, Brodi la prit mais je lui demanda quand mêmed'emmener Rebecca dans ma chambre, au cas où c'était gore, je nevoulais pas la traumatiser à un si jeune age, quand il allaitpousser la porte, ma tante le prit par l'épaule et lui dit quelquechose-que je n'entendais pas-et il se mit à coté de mon père etcacha le visage de ma fille. Freya vint et me demanda de me mettredroite-tourner le dos à ma famille- je le fit, elle se mit sur lapointe en face de moi et se mit à dire des incantationsincompréhensibles par une oreille, et d'un coup je sentit un énormemal de tête, je me coucha sur le coté pour essayer de contrer ladouleur qui devenait plus intense. Dès la fin de la dernière phrasede ma tante, mon père me prit- le mal n'était pas partit- etm'emmena dans ma chambre, me borda et partit pour me laisser avec moncopain et ma fille. Je finit par m'endormir à 22h30 et ensuite,Brodi voulut partir mais mon père l'arrêta : 

« ou vas tu ?

Oh, je rentre, encore une chose, prenez grand soin de mes deux amour

Pourquoi devrais-je m'occuper d'elles ?

Mais enfin... je pensais que tu aimais ta progéniture

oh, je les aimes mais c'est aussi ta famille donc je pensais que tu voudrais rester et t'en occuper

oh, oui mais es ce que tous les Mikaelson me le permettrait ?

Ne t'inquiète pas tout est sous contrôle, va dormir dans ta chambre, et passe une bonne nuit

eu.. oui merci mais elle est où ?

C'est la chambre de Mona, je souhaite que tu reste avec ta famille. Que tu vive avec elle ce que je n'ai pas pu faire avec ma fille

hum d'accord, mais dernière question , pourquoi est vous restés loin de Mona durant toute sa vie si vous teniez tellement à elle

Je vais te raconter les impressions de toute la famille durant la vie de ma fille : initialement je sus sans lui parler que Paige attendais mon enfant, ce fut le plus beau jour de ma vie. J'en parla avec mon frère et ma sœur qui furent aussi ravis que moi, Rebekah lui cousit même une couverture, celle dans laquelle vous enroulez votre fille. Quand à moi j'ai préféré lui créer quelque chose qu'il pourrais donner lui même à son enfant donc j'ai construit le lit dans lequel dort votre Rebecca. Ensuite, je la revit cinq mois après où elle me dit qu'elle attendais 2 filles, je commençais à lui parler du fait que l'une était de moi, elle se mit à me hurler dessus que c'était faux, de la lâcher et prit la fuite. Ensuite, je rentra à la maison blasé et ma petite sœur s'en rendit compte et vint me parler. Je lui avoua tout ce que ma dit Paige et elle se mit en colère contre cette dernière, voulut la mordre mais je l'arrêta à temps. Car quand ma sœur est furieuse, elle tue la personne et je ne voulais pas de ce sort pour ma fille, bien que je ne la verrais pas souvent, je voulais qu'elle ait une belle vie et au fond ma sœur aussi, elle devait peut être juste avoir oublié que Paige n'avait pas encore accouché. Par la suite, je continuais à la suivre mais sans l'aborder puis, je vint à l'hôpital après l'accouchement. Devant la vitre, je commençais à regarder dedans et je voyais une infirmière posant Mona et sa sœur dans les bras de leur mère. Mais dès l'absence de la jeune femme, Paige posa Marie dans les bras de son père et mit Mona dans son lit, mon ange s'est alors mit à élever ses bras, pour attirer leur attention mais eux semblaient être plus intéressés par leur vraie fille que par la mienne. Ni une ni deux, je décida d'entrer dans la chambre mais à ce moment, leurs tantes arrivèrent et je fut éloigné de la porte. Je m'approcha de nouveau de la fenêtre cinq minutes après et finalement Mona était bordée par la plus jeune de ses tantes- qui semblait être enceinte- ensuite, vers dix neuf heures, je me rendit à nouveau dans la chambre, Paige était partie à la douche-une chance pour moi-, j'allais enfin pouvoir prendre ma fille dans mes bras sans quelle ne me crie dessus. Je trouvas ma fille rapidement et elle semblait m'apprécier, contrairement à sa mère. D'ailleurs, si ma mémoire ne me joue pas de tours, il me semble pas qu'elle avait un nom alors que sa sœur si, mais bon c'est peut être juste ma mémoire. Au moment où je voulus la prendre Paige arriva et se mit à me crier dessus, alors que moi je m'expliquais calmement, ensuite je fus éjecté dehors et je ne revit plus ma fille jusqu'à maintenant. Voilà je t'ai tout raconté, retourne voir ta fille, je suis sûr que c'est ce qu'elle veut

euh... oui, merci encore, mais qui est Rebekah ?

Oh, c'est ma petite sœur et je suis certain qu'elle serait ravie de vous voir, avec la petite. Elle était déjà impatiente de voir ma fille, et cela ne fut jamais le cas, allez, file te coucher maintenant

d'accord, merci, bonne nuit,une fois dans la chambre

Eh, mon amour, où étais tu passé ? Je t'ai attendu moi !

Oh, mais, tu ne dormais pas ?

Bien sûr que non, je voulais voir ta réaction et franchement ce n'est pas celle espérée, la prochaine fois, rapproche toi de moi, je ne te mangerais pas. A moins que tu n'aie eu peur que mon père te fasse quelque chose si tu retouchais à sa fille

allez viens on dort. »


Charmed the originals diariesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant