Je lance un cri triomphant,
Pour une overdose de soulagement.
Une bourrasque d'espoir non inattendu,
S'empare de mon âme encore inconnue,
Nos deux corps demeurant loin de l'autre,
Vivant cet univers qui n'est pas le nôtre.
Un épais gouffre d'abandon,
M'emprisonne d'un énorme tourbillon.
Inconscients, aux regards éclatants,
Notre amour disparaît avec le vent,
Je meurs à travers cette démence,
Qu'enivre la frénésie de cette distance.
Un espoir déchiré,
Un amour rongé,
Je t'aime pour l'éternité, mon amour,
Je peux désormais le dire en ce jour.
Est-ce mon imagination,
Ou une douce illusion ?
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