réveil douloureux

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Je me réveille très difficilement, j'ai des courbatures partout,《aïe purée》.je regarde l'heure 10 heure.
Je me traîne jusqu'à ma nouvelle cuisine et me fait un méga café au lait
Et oui les habitudes ont la vie dure,
Et le prend sur une chaise de bar.

En le savourant tranquillement, quand je reçois un sms.
《PPFF on peu pas être peinard sérieux 》dis-je en grognent.je regarde
Le destinataire et c'est clémence.
Sms: 《coucou ma belle,alors en forme pour se soir,je passe à 20 heure
Chez toi avec la bouffe et les fringues à tout à l'heure 》.je lève les yeux au ciel《merde elle
à pas oublié 》,dis-je au bout de ma vie en laissant ma tête cogné le bord de l'îlot " aïe " dis-je en me frottent le front douleur en faisant une grimace douloureuse .je répond à son sms.

SMS POUR CLEM:t'inquiète poulette à
Se soir.

Bon de toute manière, elle mis aurait traîné de force que je le veuille ou non,pouffais-je dans mes pensée.
Je vais profiter de cette après midi
Pour aller me détendre à central parc,on sait jamais si ca peu me détendre avant cette soirée,
Et puis un bon bain et le tour est joué.

Une fois ma tasse vide je file mettre
Un joggins et basket et part courir
Pour me dégourdir les jambes et peu être me faire un bien fou,enfin j'espère dis-je en soupirant de lassitude.
Je descends les marches de mon immeuble, c est calme et sort dans
La rue et rejoind le parc en petite foulée.

Là sa fait 1 heure que je cour et
Bizarrement depuis le début je me
Sent surveillé, mais à chaque fois que
Je regarde je vois personne.
Ouais,bah je crois que je deviens
Parano en fait,pensais-je en riant de ma bêtise .
Je vais jusqu'au banc et commence
à m'étirer pour éviter les courbatures,
Boie de l'eau a la fontaine qui est a côtés du banc,et m assois pour soufflé
Un peu,tout étant dans la lune a mes réflexions du jour,que va me ramèné clémence, sa m'inquiète un peu .
Tout en soupirant.

Et je me dis qu'il faudrait que je me trouve une salle pour reprendre mes
Entraînement, mon père serait là
Il m'engueulerais et d'un coup mon cœur se sert en repensant à eux,à ma
Famille que j'ai laissé a philadelphie,
Je suis soudain mélancolique et une
Larme coule sur ma goue en y repensant. Je l'essuyant vite tout en regardent partout,gêné, honteuse de pleuré en publique.
Et me dit,ouf personne ma vu.
J'aime pas me fait remarqué,restons discrets ouais c'est ca ,baissant la tête pour pas qu'on me remarque.

Et je me dis que j'ai eu de la chance
Et que je doit en profiter, car ont ma offert cette chance.en rentrant c'est
Décidé je cherche une salle pour reprendre la boxe là où je l'ais laissé.

Je rentre tout en reprenant le chemin
Inverse, tout à mes pensée, là je heurte de plein fouet un mur《aïe putain》.enfin se que je prennait
Pour un mur,en fait etais un
Homme.

Au moment où je sais que mon cul
Va rejoindre le sol,je ferme les yeux en les plissant très fort appréhendent le choc ,mais non pas de douloureuse chute pour mon cul.
Deux bras me chope et me maintienne
Debout.et j'entends.

HOMME :oh désolé, vraiment, pardon
Miss,ca va.
J'ouvre les yeux,me sentent retenue et finalement lève la tête pour regardé qui me tiens.

Je suis déboussolé, par le choc de l'homme qui le tient toujours.

MOI:euh non,ouais enfin,lâche moi
Je tiens tout seul.
Je dis sa tout en regardant la personne
Qui me tiens.

Gêné par ma réponse,
HOMME:oui pardon.

Maintenant qu'il me tiens plus,je m'écarte de lui ,pour mieux le voir.
Je regarde de haut en bas et regarde,détail tout de lui curieuse de voir celui qui ma évité une chute dès plus honteuse et catastrophique. bien que j'avais un léger appercue quand il le tenais et bah là j'ai tout en vraie devant moi.
Et là je voie un beau blond assez grand, svelte,un regard doux et
Légèrement intimidé de m'avoir
Fait mal.

HOMME :je m'appelle declean et vous.

MOI:louna,moi c'est louna.

DECLEAN:enchanté louna, un café
Pour me faire pardonner, sa te dis.
J'hésite un moment en le regardent et puis...oh après tout sa angage à rien hien.avec une moue de réflexion.

MOI:pourquoi pas.

Et nous nous dirigeons vers un coffy shop,qui se trouve a deux pas du parc.

derrière un arbre toujours cette ombre qui la suit.
Imposante, les observent.
《Bientôt tu sera a MOI
Il fusille du regard le jeune homme ,une envie
Meurtrière monta dans c'est veine
Et serra les points tellement fort au point où c est fallange devenais blanc, et tremblait de rage contenue, Et
Déclara .
Tu m'appartient 》.en serrant les
Dent.

nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant