CHAPITRE 12

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CHAP 12 ( FRAGILE ET VULNERABLE)

LA TCHIZA DE MON MARI

Personne n'osait s'approcher de lui, Rufin était dans tous ses états, il avait saccagé les tables du restaurant, heureusement que le restaurant n'était pas sensé être ouvert ce jour là, donc les clients ne pouvaient le voir dans cet état.
-  Que s'est-il passé?
-  On ne sait pas, on m'a appelé que quelqu'un est entré de casser des choses aux restaurant, je suis sortie de chez moi en caba, j'ai trouvé sa voiture là dehors et son téléphone au sol, j'ai cru qu'on l'avait agressé mais quand le gardien a voulu guetter on a vu que c'est monsieur et il est violent.
J'ai pris mon souffle et je suis entrée.'
J'avais peur
-  Rufin??? Rufin!!
- Nooooonnnn, n'entre pas!!!! je ne veux pas
-  N'aie pas peur, c'est Maïra.
Il n y'avait pas de lumière, ou il avait cassé les ampoules, ou il n'avait pas allumé ooh, pour trouver l'interrupteur j'ai d'abord bien cherché
-  Calme toi, je ne te veux aucun mal s'il te plait, calme toi
J'essayais de le rassurer en lui parlant pendant que je cherchais l'interrupteur.
Quand j'ai enfin pu allumer je ne l'ai pas vu, mais j'entendais sa respiration dans la pièce où j'étais allée avec Salomé
il avait saccagé en vrai, heureusement que son mobilier n'était pas cassable.
-  Tu es ou? je peux venir
-  Non.
-  Pourquoi?
-  Parce que je ne veux pas que tu me voies
-  Rufin je ne vais ni te juger ni me moquer de toi, s'il te plait laisse moi t'aider ,tu n'es plus seule maintenant
Je l'ai trouvé en bas d'une table, en boule.
-  Rufin... n'aie pas peur, c'est moi viens
-  Mes employés vont me voir dans cet état, je ne veux pas
il semblait être revenu en lui
-  Je vais les faire partir, il n y'en a pas plusieurs, juste le gardien et deux de tes serveuses, qui n'habitent pas loin, attend.
Je me suis levée et je leur ai demandé de rentrer, que tout allait bien, il avait juste fait un surmenage.
Elle m'a remis son téléphone et elles sont parties en en parlant que de ca. Je savais très bien que c'était des commentaires à la : Le Moukwagne, les sectes etc... Mais je savais que Rufin venait de loin et c'était même une grâce qu'il ai pu se battre comme ça.
Je l'ai aidé à se lever, ses vêtemens qui étaient les même que ceux qu'ils portaient quand on était ensemble en journée étaient complètement déchirés.
Je suis allée prendre sa veste dans ma voiture et je la lui ai mise sur les épaules.
Il avait comme pleuré, et son visage manquait cruellement de paix, de sérénité.
-  Ca va aller , je te promets, ne te laisse pas faire.

J'ai fait exprès d'éteindre les lumières jusqu'à celles de dehors, Je l'ai emmené dans ma voiture et je suis repartie fermer les portes du restaurant.
Dans la voiture il semblait avoir très froid et grelottait.
Je l'ai ramené chez lui et j'ai ouvert grâce à son trousseau de clé sur la porte du restaurant.
Je suis entrée dans sa chambre et enlevant ses vêtements je l'ai couché
Son corps était bien plus touché que je ne le pensais, ses années dans la poubelles l'avait blessé, partout partout, on aurait dit qu'il se faisait attaquer tous les jours. Il y'avait même des endroits où on aurait dit qu'on l'avait poignardé.
Des larmes ont commencé à ruisseler de mes yeux pendant que je l'habillais. Ca faisait mal, j'avais mal.
Quelle souffrance? Et nous on vivait dans notre petite vie là, on ne le gérait pas, on se disait que tout allait bien et tout, mais il avait souffert et souffrait toujours.
Je suis allée dans sa cuisine pour prendre de l'eau froide et essayé de baisser sa température car il chauffait énormément et délirais.
Dans tous son délire là, il mentionnait mon nom au moins toutes les 5 minutes.
Quand j'ai commencé à lui poser des serviette froide, il a poussé une grande respiration comme s'il s'apaisait et il s'est endormi.
Je savais même pas s'il avait mangé, rien rien mais je devais rentrer pour que ce ne soit pas l'huissier qui m'accueille encore chez moi.
J'ai attendu un peu et je suis rentrée.
Mais j'ai pas dormi de la nuit. Très tôt je suis allée le voir après avoir géré la maison.
Quand j'arrive je cogne à la porte, je ne l'avais pas fermé à clé mais là c'était fermé.
J'ai insisté pendant un certain temps avant de voir la porte s'ouvrir sur un Rufin.
-  Saaalut Maïra
Il m'a fait un bisou jovial, il brossait ses dents en serviette autour de la taille.
-  Tu fais quoi là si tôt
Je l'ai d'abord regardé que le gars ci sait même de quoi il s'agit? où il faisait un déni.
-  Je venais te voir, tu tu tu vas euh bien....
- Je veux te parler
- Moi aussi, j'arrive
Il a tourné. Nul n'aurait été ses cicatrices le corps de Rufin était quasi parfait, il n'avait pas pris de poids, et avait gardé sa charge musculaire. Mama fallait me voir guetter ses fesses pendant qu'il s'en allait.
-  Yaaa Maïra!!!
Ca ne se fait pas!
Il est revenu toujours en serviette après s'être rincé la bouche.
-  Maïra...
-  Oui?
Je n'aimais pas sa façon de revenir et m'appeler doucement là, au lieu qu'il se change même il revenait me dire Maïra de quoi
-  Tu tu ne t'habilles pas?
-  Si, tu veux que je m'habille?
-  Ekié, tu me demandes quoi comme ca?
-  Dis moi ce que tu veux me dire...
Il était debout devant moi et moi assise sur son canapé.
Si je levais la tête j'allais voir sa serviette bombée devant moi et en plus j'avais même peur que sa tête lâche encore ici et il m'engage seulement.
-  Je veux te parler d'une situation qui s'est produite hier
-  Maïra, on dirait que tu as peur de moi, je ne vais pas te faire de mal,  sauf si tu me le demandes. Lève la tête et regarde moi!
il a décalé sur le côté et s'est assis sur l'autre canapé, là j'ai levé la tête.
-  Pourquoi mon frère t'a pris à moi si c'était pour te faire souffrir? Moi je t'aimais plus que tout, j'ai tellement souffert... Mais je pensais que tu étais heureuse et ca m'allait!!! Maintenant c'est pire ce que je ressens.
Une bouffée de chaleur m'a envahi
-  Rufin, ne me dis pas ca, tu sais que j'aime Manu, c'est mon mari et tu sais aussi qu'à un moment c'est toi que j'aimais sans même le savoir, donc quand tu parles comme ça, ca va m'embrouiller et encore me faire souffrir, je t'en prie
-  Nooonn, je ne te demande rien, j'ai juste envie de te toucher, de te faire l'amour, mais ca ne se fait pas, j'ai pas envie de te demander, mais de te prendre de force et de te faire oublier cet insensé...
Weeeehhh, la sorcellerie n'avait pas quitté ma vie onong. Dieu seul savait à quel point les vilaines paroles là me faisait un genre dans le corps mais j'avais encore ma raison.
J'ai baissé la tête sans savoir pourquoi et je me suis rendue compte que Rufin était excité, son sexe avait pris de l'ampleur et se dressait sous sa serviette. Malééééé.
Je me suis levée brusquement.
-  Je vais partir, je ne sais pas ce qui s'est passé mais tu as eu une crise hier et tu as tout cassé dans ton restaurant, ne me contacte plus, j'aime mon mari!!!
Il a ouvert grand les yeux et j'ai même cru qu'il allait s'évanouir, profitant du petit embarras j'ai couru vers la porte et je suis sortie.

Bon appétit mes bébés, la suite demain non?

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