Le Monstre (Garoh x Oc)

10: Face Down

-C'est un très bon ami ! Coupais je Genos en le fixant, mais il ne comprit pas et rouvrit la bouche.

-C'est Garoh ? Finit il par demander.

-Le chasseur de héros ? Dit King en se levant, même Saitama se redressa.

-Oui, il était chez Gabrielle tout à l'heure. Expliqua Genos le plus simplement du monde.

-C'est vrai ça ? Dit King en se mettant à trembler et en regardant de tout les côtés comme si il pouvais sortir de nul part pour l'attaquer.

-Il était blessé, j'allais pas le laisser crever...

-Mais il tue des héros ! Cingla King.

-Si je l'entraîne, il arrêtera il me l'a dit et en plus il n'est pas si fort que ça je pourrais le maîtriser s'il y a un problème.

-Moi je veux bien. Nous nous retournions tous vers Saitama qui nous regardait, blasé comme à son habitude. Moi aussi je veux me battre contre lui !

-Si Saitama sensei vient, moi aussi. Fit Genos, King nous regarda tour à tour puis soupira et se rassit par terre.

-La pause est finis, venez que je vous montre qui commande. Annonça King, sûr de lui. J'éclatais de rire alors qu'une veine apparaissait déjà sur le crâne de Saitama qui espérait comme toujours ne pas finir dernier.

1 heure plus tard, j'arrivais dans mon appartement, je soupirais et me mis devant mon calendrier: Mercredi 10 Septembre X. Je dînais vite et allais sauter dans mon lit. Le lendemain, je me levais difficilement. J'avais mis mon réveil à 7h, je me préparais puis sortis pour cette longue journée, rythmée par les patrouilles, qui m'attendaient...

... Il est 19h, quand je pousse enfin ma porte d'entrée. J'ai passé la journée à patrouiller et le pire c'est qu'il n'y avait aucun monstre. Et en plus je n'est pas croisé d'autres héros à part Fubuki et... son équipe. Ils parlaient d'une association de monstres, si j'ai bien compris, et d'un enlèvement. Je suis passé voir Batte-Man qui allait beaucoup mieux et qui m'a demandé si ma proposition de l'inviter avec King tenait toujours, il l'admire vraiment on dirait. Je rentre dans ma chambre et commence mon sac pour demain. Le stricte nécessaire, tout tient dans un sac... Je prend donc un sac de sport avec le logo des 5 Seconds of Summer. Je prépare des exercices qui pourrait faire progresser quelqu'un qui ne miserait pas tout sur la vitesse, comme je le fais, je m'endors assise à la table de ma cuisine. Je me réveille en plein milieu de la nuit et tâtonne jusqu'à l'interrupteur pour avoir un peu de lumière, je m'étire et regarde l'heure: 3:19. Je vais jusqu'à ma chambre et allume la lumière quand je remarque un corps sous la montagne de couverture. Étant crevé j'ai l'impression de plané, mes pensées ne s'enchaînent pas normalement. Je soupire et m'approche en oubliant ma rupture avec Genji, je me dis que c'est forcément lui, vu que nous sommes ensemble.

-Genji, bouges tu prend toute la place. Je vois le corps s'agiter et une tête immerger, la tête de Garoh. J'en tombe en arrière de surprise et me cogne la tête contre un mur.

-Genji ? Dit il en souriant et en s'étirant. Tu m'a cacher le fait que vous dormiez ensemble.

-Quoi ? Ah non... On est plus ensemble... Je suis crevée... et j'ai mal. Dis je en me massant l'arrière de la tête. Mais d'ailleurs qu'est-ce que tu fais ici ? Maintenant je suis bien réveillée à cause de la douleur.

-Tu m'a dis de venir vendredi et nous sommes vendredi. Dit il en se levant.

-Je t'avais dit vendredi soir pas matin. Il me tends sa main pour m'aider à me relever. Merci, mais c'est ma chambre et mon lit. Si tu veux rester y a le canap'.

-S'il te plaît, il est super dur ton canapé j'ai essayé je te le jure. Il me supplie en me regardant tristement. Je suis si fatiguée que je n'est pas la force de me disputer.

-Tu sais quoi ? Fais ce que tu veux mais éteins la lumière. Je rentre sous mes couvertures et soupire d'aise en me laissant aller au sommeil.

Les rayons du soleil traversent mes rideaux mal fermés par Garoh en rentrant chez moi. Je me réveille en grognant et sens un poids sur mon ventre et mon dos. Des bras me retiennent fermement. Je soupire en regardant Garoh, je ne peux m'empêcher de sourire puis je m'extirpe de son emprise et me lève.

-T'aurais pu rester.