vendredi.

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Jour 5.

Chaque soirée qui prend fin ressemblent à des objets que je mets dans une valise pour quitter le pays l'âme légère. Boire entres amis, savourer chaque instant et fou rire que nous partageons à travers nos conversations. C'est le résumé de ce que j'ai fais. Non sans oublier de supplier celui pour qui j'ai une énorme affection de me raccompagner. Il a accepté sans grande réticence, puis nous avons continuer de parler dans la nuit où les étoiles ont de la difficulté à se frayer une place. Je ne pensais pas que c'était la dernière conversation que j'avais avec le brun jusqu'à ce que mon immeuble ne se dresse devant nous et que nous arrêtions notre marche. Sans mentir, mon cerveau s'est immobilisé pendant quelques secondes. Mon ainé m'a interrogé si tout allait bien, puis qu'est-ce que j'ai fais? Je l'est pris dans mes bras. Quelle a été ma réaction? J'ai fais de l'alcool la fautive de mon étreinte désespérée. Il m'a timidement sourit, réchauffant mon cœur. Ce que j'aurais par dessus tout voulu faire, donner un câlin à toutes les personnes qui compte pour moi. Néanmoins, des doutes se seraient déposés chez chacun d'eux, tout le monde sauf lui. Il suffisait d'observer la manière dont ses yeux me regardaient ,il n'était pas mal à l'aise de ma soudaine affection. Cela m'a t-il fait sourire? Oui, mais à travers un ou deux sanglots. Cela a t-il empiré, une fois encore, ma situation? Oui. J'ai quitté mon hyung dans un bonne nuit tendre qui se voulait des plus convaincant. Je crois que de tous les mots, de toutes les phrases, de toutes les syllables que j'ai articulé depuis que je suis dans la capacité de parler, les au revoir que j'ai adressé à ma famille et à mes amis étaient les plus poisons et douloureux. Je suis un connard ainsi qu'un égoïste, rien de plus.

P.jy

𝐭𝐞𝐱𝐭 | 𝐩𝐚𝐫𝐤 𝐣𝐢𝐧𝐲𝐨𝐮𝐧𝐠Où les histoires vivent. Découvrez maintenant