La Tour Du Raout Part4.

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Arrivés au pavillon, nous pouvions toujours voir les toits du manoir et entendre le vent passer dans les fenêtres à l'intérieur de la tour composant une mélodie de murmures de pierre.

Charles te plaqua contre la porte pour t'embrasser et dans un grand vacarme la ferma par le même occasion. Il glissa ses mains sous ta chemise et passa ses doigts contre ta peau puis sous ton caleçon pour serrer ton cul. Je me mis derrière lui et défis malhabilement sa chemise. Nos mains si rencontrèrent et tu m'aidas à défaire les boutons restants. Je me pressais contre lui, une main sur son téton droit et l'autre qui descendait son pantalon. En glissant ma main le long de son caleçon vers sa verge j'y sentis ta main qui se pressait contre son érection. Je saisis lentement ses testicules pendant que tu pressais circulairement son gland avec le pouce. Je me pressais contre lui et toi également. Du bout des doigts je massais ses couilles et du dos de la main, avec les phalanges, je glissais contre ta queue. Après quoi je la pris à pleine main et glissais autour en embrassant les épaules dénudées de Charles. Il se retourna et pressa ses hanches contre les tiennes tandis qu'il saisit les miennes pour me sentir plus fort contre lui. Je passais mes bras sur ses épaules et mis ma main dans tes cheveux pendant que tu embrassais sa nuque et qu'il m'embrassait fermement. Je me mis lentement à genoux, prenant le temps d'embrasser son torse. Je laissais ma langue aller le long de sa queue, les mains sur ton cul pour vous presser l'un contre l'autre et ainsi le presser dans ma bouche.

Par moment, tu allais plus vite alors j'embrassais ses hanches et d'autre, tu prenais ton temps en lui et laissais ma langue contre sa queue. Le sentant fébrile je laissais ma langue aller sur son gland attendant qu'il y vienne. Lorsqu'il eut fini sur ma langue, je m'assis sur un fauteuil en bas des escaliers et me pris en main, vous regardant l'un contre l'autre, lui se cambrant contre tes coups des hanches et toi affirmant ta prise sur ses hanches laissant des marques blanches après le passage de tes doigts. Dans un dernier et très puissant coup de reins tu laissas échapper un râle grave de tes lèvres que tu mordais, un râle qui résonna contre les pierres.

Il se retourna vers toi et t'embrassa tendrement, glissant vers ta joue puis ta nuque puis vain s'asseoir sur une marche en te tirant par la main.

De la cigarette que j'avais allumée pendant que je me branlais sur vous deux tombait des cendres qui roulaient sur mon torse et se mélangeaient à ma semence. Charles me tendit un mouchoir et reboutonna ma chemise en embrassant et mordant ma peau. Puis il remit sa chemise dans son pantalon, la laissant ouverte et montrant les suçons que j'avais laissés autour de ses tétons rosés par les baisers.

En rentrant au manoir je vis sur sa nuque toutes les traces de morsures et les suçons que nous y avions laissés. Il commençait à monter les marches quand je te pris par le bras et te tira dans l'angle sombre des escaliers.

«- Dit moi. Tu es le seul de nous trois à ne pas avoir eu sa petite gâterie. »

Sur ses mots je défis ton pantalon et m'agenouillais. Je glissais mes doigts le long de ta queue en la serrant légèrement avec le pouce. J'embrassais ton abdomen puis je te pris à pleine bouche et serrais ta chair entre mes lèvres, jouant de ma langue sur l'extrémité, l'enroulant, la tordant, l'agitant. Tu tendis les bras et saisi des deux mains une pierre qui dépassait, te tendant à fur et à mesure que je laissais ma langue s'exprimer. Je levais mes bras pour passer le bout de mes doigts sur tes tétons. Je me relevais et tout en glissant ma main sur ta queue je suçais tes tétons et ta lèvre inférieure.

En sortant de la pénombre j'essuyais ma main dans l'herbe. Nous retrouvions Charles sur le même banc. Tu le pris par la main. Entrant dans le manoir tu le fis tourner pour l'envoyer dans les bras de la première femme libre que tu vis. Il embrassait son décolleté et soulevait sa jupe où il finit par se glisser entièrement, recouvert par les plies écarlates. Elle poussait de petits cris et s'accrochait aux rideaux.

Le bureau des orgies. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant