Le bureau des orgies.

L'aube Humide Part5.

Dernier chapitre pour fêter le début des vacances d'été et la fin des examens.



J'étais arrivé en bas et me dirigeais vers le bar. Je pris dix shots et sortis sur la terrasse. Je croisais les artificiers qui allaient installer leur matériel pour les feux de fin qui auraient donc lieu dans une petite heure.

Un homme arriva dans mon dos, glissant sa main sur mon cul. Il commençait à embrasser mon cou. Je me retournais et l'embrassais. Il me pressait avidement contre la rambarde. Ses baisers glissaient le long de mon cou et sous ma chemise qu'il défaisait adroitement. Il s'agenouilla et embrassait mes hanches en faisant descendre mon pantalon. Il glissait sa langue autour de moi et me prenait entièrement dans sa bouche. Puis il se redressa et en embrassant mon cou il murmura

«- Honores-moi de ta fougue animale.»

Après quoi il se retourna et embrassa un homme qui se trouvait derrière lui. Je défis son pantalon contre l'érection de l'autre. J'enfilais rapidement une capote et saisissant ses hanches, je le pris vigoureusement. Sa tête sur mon épaules, j'embrassais son cou puis l'autre. On tournait lentement pour que le premier s'accroche à la rambarde et l'autre se glissa derrière moi. Je me cambrais sur lui alors qu'il me pénétrait. Il mordait mes épaules et je me baissais sur l'autre pour y donner plus d'entrain. Chacun de mes mouvements se maniait entre un corps et l'autre. Le premier releva la tête dans un râle alors qu'il venait de fournir les rosiers d'une pluie pâle. Des manches dorés se joignirent sur mes côtes. Il était derrière le second qui donnait des coups plus puissants.

Le premier avait agrippé mes hanches et me pressait de rester contre lui. Alors d'un coup brusque, je le pris et me serrais à lui. Tandis que les deux autres derrière moi continuaient leur ébat. Lorsqu'ils s'arrêtèrent et se retirèrent je les vis à côté de nous échangeant de place contre la rambarde. Je finis celui que j'avais dans les bras et jetai la capote dans la première poubelle venue. Je me dirigeais maintenant vers le salon. Il était vide. Sûrement les invités avaient choisi de jouir avec les feux d'artifices. Je m'assis sur le canapé en cuir, reboutonnais ma chemise et m'allumais une cigarette. Quelqu'un entra dans la pièce et je fermais les yeux. Le plaisir du mystère me manquait. La personne vint s'asseoir à côté de moi sur le canapé. Je tire sur ma cigarette et cendre aléatoirement sur le sol. Il se rapproche et pose sa main sur la mienne. Il a une main douce mais ferme. Il la glisse le long de ma jambe, du genou à l'entre-jambe. Je ne bougeais pas et le laissais faire. Je le sentis bouger contre ma jambe. Il se mettait à genoux. Je levais les hanches pour l'aider à retirer mon pantalon. Il embrassait l'intérieur de mes cuisses et entoura la base de ma verge avec des lèvres douces et humides.

Il glissa sa langue contre ma peau et embrassait sensiblement mon érection. Des femmes entrèrent en riant dans la pièce. Des rires doux et légèrement étouffés par des baisers. La tête en arrière j'ouvris les yeux et sentis sa bouche me prendre entièrement. Une bouche chaude. Je regardais ces femmes s'embrasser contre le mur derrière moi. Je tendis ma main pour trouver sa tête et glisser mes doigts dans ses cheveux mais il la prit et entremêlât ses doigts avec les miens. Les femmes sortirent de la pièce. Il me léchait si délicieusement que je respirais difficilement. Il lâcha ma main et j'entendis un sachet s'ouvrir. Je refermais les yeux quand je sentis ses genoux m'entourer dans le canapé moelleux. Il mit ses mains sur mes épaules et se glissa sur moi. Je relevais la tête, les yeux toujours fermés et accueillais sa bouche exquise contre la mienne. Sa langue se fraya contre mes lèvres. Dans une valse amoureuse je laissais la mienne danser avec la sienne. Il se mouvait contre mon corps. Il passa ses mains derrière mes bras et les posa sur mes épaules. Je l'entourais des miennes. Il ne bougeait plus trop et embrassait mon cou. Ses lèvres suçaient ma peau et il se resserrait contre moi. Il glissait ses mains dans mes cheveux et je l'embrassais délicatement.