Faux

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Sa peau pâle, intensifiée par le clair de Lune. Ses yeux gris de glace ne reflètent aucune pitié. Son corps élancé traverse la forêt de ronces. Le sang, son sang coule sur ses fines jambes. Elle souffre mais elle continue d'avancer. Cachée derrière un cyprès je l'attends. Enveloppée dans ma grande cape noire, agenouillée sur une tombe, sa tombe, j'aiguise ma faux. L'oiseau de nuit court. Sa vie touche à sa fin et soudain, ma faux s'abat sur sa nuque fragile. C'en est fini. La jeune fille gît ensanglantée, la bouche entrouverte, morte.

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Certainement à retravailler. Très court.
Salutations

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