Smile {Assassination Classroom} (Réécriture)

3. ✅

Comme à son habitude la blonde se réveilla bien avent d'entendre son réveille, et pour cause, une nouvelle terreur nocturne l'avais pris, et alors qu'elle allez se lever un affreuse douleur lui pris les jambes et les avent bras un petit cris mélangeant douleur et détresse passa la barrière de ses lèvres.

Une fois debout Louna partis vers la salle de bain, une fois dans cette dernière elle se pris sa douche et s'habilla, elle cacha alors un nouveau bleu que sa mère avec « gentiment » fait sur sa joues, et les nombreuses marques de strangulations (étranglement) présente sur son coup, elle regarda son reflet dans le miroir en soupira de déception, elle étais hideuse.

C'est avec horreur que la jeune fille remarqua qu'elle étais sur le point d'être en retard, elle n'avais pas vue le temps passer à force de se lamenter et de devoirs cacher ses marques, elle récupéra en vitesse son sac et descendit en courant, Louna mit a la vas vite ses chaussures et partis en courant en direction de son établissement, ce n'est qu'une fois arriver qu'elle remarqua un détaille important détaille qui la chiffonna et la frustra au plus profond d'elle même, un immense sentiment de malaise l'envahit, elle ne c'était pas attacher les cheveux, et dans la précipitation elle n'avais aucun élastique sur elle, dans un long soupire pria pour que une de ses "amies" est deux élastique à lui passez.

Une fois arriver en haut de la petite montage Louna chercha Kayano, une fois cette dernière repérer elle alla la voir après tout si une personne étais susceptible d'avoir des élastiques c'était bien Kayano.

- Désolé de te déranger de bon matin Kayano-chan, mais, tu n'aurais pas deux élastiques à me passez s'il te plaît..?

- Oh euh oui bien sûr, tiens."

La jeune fille au cheveux vert sortis deux élastiques de son sac et les passa à sa camarade qui s'empressa de les récupérer et de faire ses deux habituelle chignons, une fois fait son sentiments d'inconfort et de malaise disparut aussi rapidement qu'il étais apparut.
A peine eux t'elle fini que la cloche annonçant le début des cours sonna, tout se passa parfaitement bien jusqu'à se que le professeur Koro décidé de donnez un travail de groupe, et, Louna se retrouva avec Karma pour se devoir, alors à la pause Karma alla voir la jeune fille bien que l'envie n'était pas vraiment présente.

"- Bon on s'organise comment ?

- Euh...

- Je passerais chez toi après les cours."

NON voulus criée désespérément la jeune fille, car, personne ne devait savoir se qu'il y avais de l'autre côté des murs de cette appartement de l'horreur et surtout pas lui.
Elle hocha alors doucement la tête avent de finalement la baisser pour évité le regard de son camarades, Louna partis dans un cours isoler avent d'attraper son téléphone portable et d'envoyer un texto à sa « mère » pour la prévenir que se soir un élève de sa classe allez venir.
Le reste de la journée se passa calmement à l'exception du stresse et de l'appréhension de la jeune fille au cheveux blonde, le soir comme convenu Karma rentra avec Louna. Une fois devant la porte de sa maison la jeune blonde commença a stressée bien plus violemment que durant toute cette journée, mais elle dut forcément à un moment ouvrir la porte, et quand elle rentra elle fut surprise de voir la maison rangé et propre pendant une fraction de seconde Louna crue elle même a cette effet de poudre au yeux laissée par sa mère, pendant quelques seconde elle crue, que, enfin tout allez être normale, sa mère sourit tendrement bien que Louna savais pertinemment que se sourire étais faux puis s'approcha de ça fille et chuchota.

"- Tu vas comprendre la définition du mot souffrance quand ton abrutit d'ami sera partis espèce de salope."

Louna commença à paniquer, sachant déjà que dès que la porte se refermerais annonçant de départ du rouge elle allais vraiment souffrir, alors que sa mère répartis aussi vite qu'elle était arriver prétextant avoir du travaille, la petite blonde partis en direction du salon en compagnie de Karma. Une fois assis à la table ils commencèrent les recherches sur leurs devoirs en discutant de temps en temps pour échanger quelques informations.

Une fois qu'ils avaient fini Karma partis en saluant son amie et en remerciant la mère de cette dernière de l'avoir accueilli a la dernière minute, mais, a peine la porte fut t'elle refermer que Laura lança un livre sur sa fille se qui la fit tomber avec une extrême violence de la chaise, une fois la jeune fille a terre sa génitrice commença à -une nouvelle fois-la ruée de coup tous plus violent les un que les autres. Au bout d'une heure la jeune femme brune s'en lassa et partis en claquant la porte laissant seul Louna recroquevillé sur elle même en pleurant, perdu dans ses pensés la jeune fille au cheveux blonde se mit à réfléchir à quoi ressemblerais une vie parfaite, une vie sans une mère alcoolique, une vie ou enfin elle serais heureuse.

Au bout d'une trentaine de minutes quand elle fut sûr que ça mère n'allais pas revenir, Louna se releva en lâchant un petit cris de douleur, la jeune fille se mit difficilement à marcher vers la salle de bain, cette tache ne fut pas des plus facile, plusieurs fois sur la route elle tomba lourdement son faible corps ne supportant plus le coup répétitif de sa génitrice, une fois arriver dans celle-ci elle se dépêcha de soigner ses coupures faite par sa propre mère, elle pris un bandage et pansa ses nombreux bleus et hématomes.
Une fois qu'elle fut totalement soigner la jeune fille blonde enleva le maquillage qui servais a cacher ses cocard puis elle se mit en pyjama non sans peine la douleur étant toujours présente.

Louna pris délicatement sa lame poser sur le rebord de la petite étagère bleu, à peine le première traits fut il tracer que le sangs écarlate s'écrasa sur le carrelage autrefois d'un blanc immaculée de la salle de bain laissant ainsi place à un mélange plus ou moins harmonieux de couleur. Se ne fut que au bout d'une dizaine de minute et d'un nombre incalculable de traits incalculables rajouter à ses anciennes cicatrises la jeune fille partis se coucher espérant que cette nuit serais la dernière, que des traits serais les derniers, que ses hématomes serais les derniers, que le passer n'existerait plus, et que demain ne serais pas, et c'est ainsi sur ses sombres pensées qu'elle sombra dans les bras de Morphée.

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