Is It Love ? Daryl ~ Criminelle

~ five ~

PDV Daryl

Je suis actuellement nu, attaché au lit et excité comme jamais. Je déchire avec un pincement au cœur ma chemise qui m'a coûté un bras et me lève pour me diriger jusqu'à la salle de bain où est enfermée la belle. Je fais coulisser la porte et tombe nez-à-nez avec Soraya. Je vois son visage surpris puis une étincelle de désir vient briller dans ses yeux.

- Tu vas le regretter ma chère, susurrai-je.

Je la plaque violemment contre la porte que j'avais refermé et vient posséder ses lèvres. Elle passe ses mains dans ma nuque et vient ensuite caresser mon dos avant de venir effleurer mon torse. Je demande l'accès à sa bouche et nos langues se rejoignent avant de débuter un ballet endiablé. Je la soulève alors et ses jambes s'accrochent à mon bassin, son peignoir glisse et tombe au sol, là laissant nue devant moi. J'ouvre à nouveau cette fichue porte coulissante et balance Soraya sur le lit avant que je ne vienne la surplomber.

PDV Soraya

Ses mains viennent sur mes seins et les malaxent doucement, sa bouche se pose sur mon mamelon et le suce, le titille de sa langue. Je gémis doucement son prénom et passe la main dans ses cheveux. Sa tête descend plus au sud et un doigt pénètre mon intimité, rapidement suivi d'un deuxième, il entreprend de longs et lents mouvements qui me font brûler d'impatience. Je pousse mon bassin contre sa main et je n'obtiens qu'un léger rire de sa part. Soudain, il retire ses doigts et sa tête vient de loger entre les jambes, sa langue vient lécher mon clitoris et je ne peux m'empêcher de crier, je me tortille de plaisir mais suis rapidement immobilisée par deux mains qui plaquent mes poignets contre le lit. Daryl se relève et viens m'embrasser, avant de me pénétrer sauvagement de toute sa longueur. Je hurle alors, me fichant totalement que l'on puisse m'entendre. Mon partenaire débute de puissants vas et vient en moi, l'arrachent des gémissements à chaque coups de reins. Au bout de quelques minutes, il me retourne à quatre pattes et s'enfonce à nouveau violemment en moi. Il touche le fond de mon intimité tout les allers retours me faisant rapidement perdre la tête. Je sens petit à petit le seuil de la jouissance monter en moi, l'orgasme me frappe de plein fouet et Daryl ne tarde pas à venir aussi. Je me laisse lourdement tomber sur le matelas avant d'allonger le latino et le branler lentement, le refaisant bander. Je souris, fière de moi, et m'empare sur toute sa longueur, la sentant au plus profond de moi. Je commence à monter et descendre sur lui, lui faisant lâcher ses grognement rauques, puis, trouvant sûrement le rythme trois lent, il me donne un énorme coup de rein qui me fait crier son nom.

- Continue comme ça princesse, l'entendis-je souffler.

Je ne peux qu'acquiescer d'un mouvement de tête avant de recommencer mes mouvements. Tout à coup, Daryl se redresse tout en étant en moi, et vient m'embrasser langoureusement. Il se retire de mon intimité, se lève en m'entraînant derrière lui puis me plaque contre le mur avant de me murmurer :

- J'ai la légère impression que t'as perdu à ton jeu Reyes... penches-toi en avant et plaque toi contre le mur, en te cambrant bien évidement...

Je m'exécute et je suis maintenant dos à lui, ma croupe fièrement présenter devant sa queue. Je sens sa main descendre le long de mon ventre puis venir toucher mon point sensible. Je me mets à haleter et dans un coup de rein bestial, Daryl s'enfonce en moi.

10h30

J'ai mal partout. Mon "patron" ne m'a pas vraiment épargné et a tester toutes les positions possibles et inimaginables avec moi. Il dort d'ailleurs tranquillement sur mon lit, la bouche entrouverte pour laisser passer l'air. On va dire que j'ai perdu à mon jeu. Et vraiment bien perdu, je me suis faite écraser. Je me lève et grimace à cause des courbatures, je marche très lentement jusqu'à la salle de bain puis me regarde dans le miroir, mes cheveux emmêlés, mon regard fatigué et les suçons dans mon cou prouvent que la nuit de folie que j'ai passé n'était pas un rêve. Je souffle un coup avant de filer sous la douche.
J'en ressors une trentaine de minutes plus tard, mon peignoir recouvrant mon corps. Une fois dans la chambre, je remarque sans étonnement qu'Ortega est parti. Je prends de nouveaux sous-vêtements puis enfile un jean noir ainsi qu'un débardeur gris en haut. Je me fais un rapide chignon désordonné puis sors de ma chambre.