GᄂiƬᄃΉ

>. ¢нαριtгє II

>. Archive audio 14881
19/11/38 : 7:21 AM
>. Lecture en cours....                 

(Salutation lecteur ! Je pense qque cela se remarquera mais cette version du Chapitre 2, n'est tout simplement corriger. J'ai préféré pour passer le chapitre 2 tout de suite comme le retard de publication de ce dernier est flagrant. Cordialement ZeyX !)

La lumière m'éblouit le temps que mes yeux s'habitue à la forte lumière qui émanait de derrière la porte. La lumière venait d'un néon de couleur chaude. Je mis un pas en avant, presque en tremblant de peur. Puis je passe ma tête en dehors du cadre de la porte métallique et regarde de droite à gauche. Je fut surpris de voir que c'était un couloir complètement délabré. On pourrais avoir l'impression que tout allais s'effondrer rien qu'en touchant le mur. Des câbles pendait du plafond et des briques était éparpillé au sol. Rien que marcher dans ce dédale est une épreuve en elle même. Le cliquetis que j'avais entendu venais de la partie droite du couloir. Par rapport à la partie gauche, la droite était en meilleur état. Seule quelques vignes sont accrochées au mur. Je décide de me diriger vers la partie droite du couloir même si les cliquetis incessant ne m'inspire guère.

Je marche doucement pour éviter les débris qui sont dispersés un peu partout sur le sol. Le son redondant du cliquetis est de plus en plus fort. Sur ma droite une porte apparaît et un peu plus loin une fenêtre qui donne sur la pièce m'interpelle. Je regarde l'intérieur de la pièce en espérant trouver une personne qui pourrais m'aider et en même temps en espérant ne trouver personne par peur à cause des événements de toute à l'heure. Rien. Personne. J'ai vraiment l'impression d'être isolé du monde. J'ai peur, tellement peur. Comment puis je sortir d'ici ?

Sur le rebord de la fenêtre, je trouve une lettre cacheter. Elle est poussiéreuse et couverte de débris. Je la prend et au verso je remarque qu'une phrase est écrite au marqueur noir :

« Urgent, à envoyé au niveau 3. De la part du Dr. Glaves »

Logiquement les niveaux seraient les étages, mais bon, je ne suis pas là pour la visite donc je vais plutôt passer par la prochaine sortie de secours que je vois. Si il y en a, car je ne vois rien de tel. Je retourne la carte postale et la lettre. Après une légère hésitation j'ouvre la lettre. De toute façon ce n'est pas comme si quelqu'un en avait encore besoin... L'état du lieu me le confirme, il est complètement en ruine. À l'intérieur il y a une feuille avec écrit "Projet WorldEyes" en titre et au fond de la lettre une carte audio* (Note de l'auteur : Pour tout les mots comportant une petite étoile comme ceci * , ce sont des termes qui sont propre à l'histoire et que vous pouvez retrouvez tout en bas de la page, à la fin du chapitre). Je la prend et la retourne dans tout les sens pour voir s'il il y a quelques chose d'écrit dessus pour voir s'il n'y a pas d'indice sur le sujet de la lettre. Rien. Je la garde avec moi au cas ou si je recroise un terminal. Il pourrais éventuellement parler d'une quelconque sortie.

Après avoir ranger la lettre dans un sac à dos que j'ai trouvé en marchant dans le couloir, j'observe attentivement le fond de la pièce pour savoir d'où viens ce cliquetis. ₵₳Ɽ łⱠ ₥Ɇ ₵₳₴₴Ɇ ⱠɆ₴ ₵ØɄłⱠⱠɆ₴. Je remarque qu'au loin il y a une grande porte en métal avec une serrure qui fait la taille de mon corps.

Durant mon approche de cette serrure, je regardais par dessus le hublot d'une porte situé à la droite de la grande serrure. Il y avait des escaliers plutôt serrés qui montait vers le haut et qui donnait aussi un accès vers un étage inférieur. Mon cœur sursauta un instant en imaginant que c'était peut-être une issue. Sans me retenir je mis ma main sur la poignée et poussa la porte. Je m'imaginais déjà derrière cette porte, mais elle était fermé. Rien de bien étonnant vu que le lieu est abandonné il n'allait pas laissé une porte qui mènerais à la sortie ouverte. Sûrement pour éviter les squatter et les accidents.

Je laissais un soupir qui venait du fond du cœur s'échapper de ma bouche. J'eu l'idée d'enfoncer la porte mais vus la fatigue accumulé je pense que je me serais plus fait mal qu'autre chose. Je revenais donc sur la grande serrure. Je suppose que ça devait être une sorte d'entrepôt sécurisé. En tout cas ce qui est sûr c'est que sont entré est scellé et impossible d'y entrer. Le cliquetis venais du mécanisme de la serrure et en me rapprochant je remarquais que le bruit n'était pas si fort que ça. Je pense qu'avec la réverbération du couloir, le son à du être amplifier. Je me faisais du sang d'encre à cause de ce cliquetis mais en faite ce n'était rien de méchant. D'une façon j'ai bien fait de prendre ce couloir car si j'avais prit l'autre, ce cliquetis m'aurait rendu fou.

Après un temps de consertation avec moi- même, je décide de repartir de ce couloir pour emprunter le couloir gauche. Seulement, au moment où je pose le premier pas en avant, le cliquetis s'arrête net. Plus aucun bruit ne retentit dans le long couloir sombre et délabré. Puis d'un coup la porte ronde sur laquelle la serrure était positionné s'ouvrit très doucement. Par peur, je cours vers la fenêtre où j'avais trouvé la lettre juste avant. Je prend une brique au sol et bien que j'eu du mal sur le coup à la saisir, je la lance le plus fort possible contre la vitre. Elle se brise en millier de petites particules de vert. À la suite de cela, je saute droit dans la pièce et me cache sous le rebord de la fenêtre du côté intérieur.

En regardant par dessus le rebord de la fenêtre, deux personnes était positionné derrière la grande porte ronde. Ils étaient armé de fusils d'assauts. Je fût sous le choc.

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*Carte audio : Composant électronique qui s'insère dans un terminal et qui permet de lire un audio enregistré par quelqu'un.

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