Deux mondes différents, un amour, un secret qui va tout bouleverser dont le destin.
Un mélange d'amour passionnel et destructeur mais vont être amené bien plus loin qu'ils ne le pensaient.
Ken Samaras - Amal Silva // Rosalía Jiminez.
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Je vois mon frère assit sur le canapé, je le rejoins.
«Oui?
-On va parler sérieusement
-Oula j'ai fais quoi?
-Rien assis toi je sens l'angoisse monter. Je veux que tu sois la mère adoptive d'Arnau enfin par tutelle
-Hein?
-Enfaite mon contrat est sur cinq ans voir plus, ça me fait mal mais je sais qu'il est entre de très bonne main
-Pedro c'est beaucoup pour moi
-S'il te plaît je veux qu'un de mes enfants soit heureux, quand je le vois rire au éclat avec toi et Ken, avec les autres garçons au téléphone je sais qu'il sera épanouie là-bas avec toi je souffle.
-Laisse moi le temps d'y réfléchir
-En plus juste hier il m'a dit est ce que tata va être ma maman, il est très attaché à toi Amal
-Je vais y réfléchir d'accord?
-D'accord »
Je suis déboussolée quand même, l'adoption c'est une chose compliquée je sais de quoi je parle.
Je ne suis pas contre au contraire ça me fait extrêmement plaisir mais c'est beaucoup de responsabilité.
« Pedro ça va aller? je dis pour changer de sujet.
-Oui je vais un peu mieux, le choc est passé mais je vais pas baisser les bras, j suis allé porter plainte et j'ai rendez-vous avec mon avocat demain je soupire.
-Je sais pas comment t'aider
-Juste en gardant le petit auprès de toi je me lève et le prend dans mes bras.
-Je te laisse pas tomber
-Moi non plus, ensemble jusqu'à la fin
-Ensemble jusqu'à la fin. »
On se regarde et il prend la parole en regardant dans le jardin.
« Et avec le grec alors? Je vois que t'es heureuse avec lui
-Oui c'est vrai, je suis bien j'évite son regard.
-Je suis vraiment heureux pour toi, tu le mérites. Ça a l'air d'être un gars qui a bien bavé même niveau amour alors ne faites pas les cons sinon c'est à vous deux à qui je vais remonter les bretelles
-Oui m'sieur
-Bon bah c'est super alors »
Les garçons nous rejoignent, Arnau n'arrête pas de se gratter l'œil.
« J'en connais un pour qui c'est l'heure de la sieste, aller vient son père le prend et le monte à l'étage.
