LE TEMPS D'UN NID

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Ceci est la suite directe de la première partie.


Il s'était passé beaucoup de temps depuis que nous" sortions ensemble" , beaucoup trop. Candy devait aller rejoindre son appartement de Lyon , elle devait faire une réunion d'information pour de jeunes éducateurs spécialisés pour personnes à handicap. On ne supportait plus cette distance qui durait 5 jours maintenant , c'était devenu affreux !


J'étais dans le TGV en provenance de Paris qui allait à Lyon , on arrivait gare de Lyon Part-Dieu d'un instant à l'autre. J'étais excité à l'idée de la revoir.
Pendant que le TGV ralentissait , je pus retrouver du réseau sur mon téléphone pour lui dire que je suis arrivé. Elle venait juste de finir sa journée, il devait être 18h30.
J'attendais calmement avec un café long pour me réveiller de l'inertie du voyage , quand j'eus le souffle coupé en apercevant Candy en robe blanche qui laissait apparaître les formes onctueuses de son corps tout en le couvrant , je ne puis retenir mon émotion.
Je descendis la retrouver à l'entrée de la cafetaria , elle se jeta dans mes bras et on échangea un long et langoureux baiser : elle n'avait plus besoin de me dire que je lui ai manqué ni qu'elle était contente de me voir , elle venait de me le démontrer.
Elle se hâta de me dire:

Candy: tu viens , on rentres?

Moi: Non , on passe la nuit ici .. avec un sourire.

Candy : t'es con .. en pouffant de rire.

Dans la voiture , elle pris à peine le temps de me demander si j'ai fait bon voyage qu'elle commença à me caresser la cuisse gauche, ce qui avait pour effet de me "gniram' tal" chatouiller plus que de m'exciter. Mais c'était normal , elle ne connaissait pas encore mon corps mais on avait un week-end entier pour ça...
Candy habitait le vieux Lyon , son appartement était en bordure de la Saône , et les constructions même rénovées avaient encore des traces de l'époque de la renaissance.

Après avoir déposé ma petite valise dans la chambre à coucher elle me fit visiter l'appartement. L'entrée donnait sur un séjour ou il y avait une table basse avec des magazines dessus et panier de pétales parfumés , en partant du petit séjour vers la droite on avait une salle qui avait une porte coulissante , elle avait séparé la salle en deux parties : une partie ou il y avait un salon en en velours et l'autre partie où il y avait un vieux piano , et un ordinateur fixe.La salle donnait accès à la petite cuisine , si petite que deux personnes arriveraient difficilement à s'y tenir debout sur la largeur entre les étagères et la cuisinière.

La visite s'est terminée dans sa chambre à coucher : je n'avais jamais rien vu de tel, tout en blanc , les rideaux , la peinture , les portes et surtout les draps , les oreillers , le couvre-lit , tout était d'un blanc immaculé.
J'avais l'impression d'être dans un rêve ,la chambre avait une forme ovale ou plutôt d'un œuf , le lit était au fond de la chambre. A gauche du lit , se trouvait la salle de bain, et à droite il y avait une cheminée. Le plancher , la cheminée , les lustres au plafond ,le blanc présent partout, et bien d'autres détails faisaient de cette pièce un endroit qui avait un caractère paradisiaque.

La visite se termina dans mes yeux où elle me regardait en s'approchant de moi , à l'entrée du lit et s'approcha de moi , avec ses beaux yeux marrons.
-tu m'as manqué , avait-t-elle dit..
mais ce n'était point le temps de la parole. Je la pris pas la taille l'attira vigoureusement vers moi , avant de m'emparer de sa lèvre inférieur en la suçant langoureusement avec ma langue.Ses mains caressaient ma tête , alors qu'elle laissa pénétrer sa langue chaude dans ma bouche. Cette langue qui avait le gout d'elle et l'odeur de sa salive me mirent hors de moi. Par une rotation , je la déposai délicatement sur ce lit immaculé, on était couché sur le coté, et sa langue paniquait d'excitation dans ma bouche.Je dus me retirer brièvement avant de prendre les commandes , cette fois-ci j'introduis ma langue dans sa bouche en lui caressant le bout de la langue avec le bout de la mienne. En quelques caresses , elle venait de perdre contrôle , d'un seul coup sec et déterminé , elle déboutonna mon jeans , et voulu s'emparer de mon intimité qui était déjà excitée mais elle me toucha l'intérieur des cuisses et ce qui me chatouilla , je pouffai de rire , elle se retira du baiser pour demander:

-mais qu'est-ce qu'il y a ?
-Je suis chatouilleux de l'intérieur des cuisses
-rire , c'est pas vrai...
-si si..
Pendant qu'on parlais , on se défaisait de nos habilles. C'était la première fois qu'on allait faire l'amour , seul dans cet appartement un samedi soir.
Mon intimité qui avait gonflé à bloc , sautillait à chaque battement de cœur.Voyant cela , elle eu envie de toute suite se faire pénétrer , mais il n'était pas question de la pénétrer tout de suite. C'était une première fois et la première impression déterminera tout le reste, il n'était pas question de faire du "fast track".
Je la laissai se coucher sur le dos , j'étais couché sur elle , le long de mon intimité gonflée reposait longitudinalement sur l'entrée de son entrejambe; je sentais ses seins brûlant d'une chaleur diffuse ; alors que je continuais à jouer de ma langue dans sa bouche. J'avais aspiré sa grosse langue rose dans ma bouche , m'étais mis à la sucer , avant de l'engloutir en lui caressant la partie inférieur de sa langue avec le bout de la mienne ce qui l'a mis dans un summum d'excitation. Brusquement , elle souleva ses jambes et les croisa autour de moi. Elle se retira du baiser et haleta:

-prends-moi...
Je n'avais plus le choix , sa position actuelle l'avais déjà entrouverte , je la sentais chaude et lubrifiée.. Je luttais pour me retenir de la pénétrer voulant l'exciter à son summum , mais elle n'en pouvait plus.

Quand je posai le bout de mon intimité sur l'entrée de son entrejambe lubrifiée , sans crier gare , elle me prit par derrière et m'attira vigoureusement vers elle , nous inspirâmes ensemble profondément par surprise : Cette sensation de l'un dans l'autre pour la première fois , ces chaleurs confrontées était inédite. Nous nous regardâmes , et je voyais dans ses yeux qu'elle me regardait déjà autrement .

Elle avait ses mains sur mes joues et avait perdu son regard dans le mien , m'invitant à la pilonner.

Je commençais tendrement , à faire des aller-retour tout en frottant vigoureusement mon pubis sur sa perle tout en la pénétrant.Elle criait de plaisir , elle criait. On était seul dans cet appartement de Lyon sur la Saône , on était tout seul dans cette chambre tout en blanc. C'était comme si tout l'univers ce soir là s'était préparé à cet accouplement , tout avait conspiré pour cette rencontre.


Au bout d'un moment , je n'en pouvais plus ; maintenant j'avais envie de la prendre je mis mes deux bras en dessous de ses épaules pour les croiser en dessous sa nuque et je pilonnai de toutes mes forces et de toute mon envie , j'avais envie de la frotter de la prendre de sentir sa chair , j'avais envie d'elle et je ne voulais pas que ça finisse.

Au bout d'un moment sous l'effet de la surexcitation , je me déversais généreusement sur elle.
Je me mis sur le coté , elle se blottit dans mes bras, me regarda dans les yeux , et deux gouttes de larmes coulèrent verticalement , ses lèvres tremblaient. Elle n'avait pas besoin de le dire qu'elle m'aimait ses yeux la trahissaient:

-Amadou ... je ..
-chuuut .....tes yeux m'ont dit bien plus que ça...

l'arrêtai-je avec un baiser sur ses lèvres encore chaudes et mouillées.

Pendant un temps , nous étions là , elle dans mes bras , à nous regarder dans les yeux sans prononcer mot , comme si le langage était devenu insuffisant pour exprimer nos ressentis..
Je sentis peu peu ses paupières se refermer , les miennes s'alourdissaient aussi , je ne me suis pas souvenu du moment où nous nous sommes endormies.

Un long week-end venait de commencer..

J'espère que vous avez aimé , et n'oubliez pas de partager si vous avez aimé


Je reste à l'écoute de vos commentaires et suggestions...

LES DÉLICES DE L'ABSOLUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant