Chap 31.

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"Pdv de Kabale"( Atinia).
Ça fait trois mois que j'étais ici à faire tout ce que vous ne pouvez pas imaginer des corvées de vaisselles, les linges et le repas du matin au soir pour MONSIEUR qui doit être apporté à la troisième étage. Tout ça pour dire que c'est la galère ici. Mes jambes, mon dos tout me fait mal. On dirait qu'il n'ya personne d'autre à part Pegasus, Benjamin et moi. Mais ce n'est pas une raison de me faire faire tous ces trucs que même à trois ou quatre c'est fatigant et je ne suis sa mère non plus. En plus je n'ai aucune nouvelle de ma famille et de mes amis surtout pas d'Atem.
Le soir après le repas et tout le tralala, j'ai enfin pu regagner ma chambre. J'étais morte de fatigue c'était pour ça que mes servantes et esclaves me faisait de la peine. Mais là je suis seule. Je décida de rentrer dans la grande salle de bain pour prendre un bain chaud qui me fera que du bien. Une fois dans le bain chaud, je ferme les yeux en méditant sur moi même et ce crétin qui me retient ici avec ma bague. Je penses qu'il ne sais pas pour la prophétie qu' Hathor m'a destinée mais j'y crois de moins en moins .Sur ceux je ferma les yeux quand son visage apparaît dans ma tête. En faite il n'est pas si vieux que ça. Sa teinture lui donne même un charme magnifique. Mais je dis quoi moi ! Atinia c'est un vieux. UN VIEUX !
30 min plutard je sorti de la salle de bain avec un peignoir blanc. Quand je me suis retournée je le vis.
Moi: Mais vous faites quoi ici !
Pegasus : Je suis venue m'amuser un peu avec toi.
Moi : Ça marche pas avec moi ces choses là alors vous vous fatiguez pour rien et à ce que je vois je ne vous ai pas autorisé à entrer dans ma chambre respectez au moins ma vie privée !
Pegasus : Comme tu l'as dit c'est chez moi et toi tu fais que faire ce que je veux puisque tu as perdu ton pari et maintenant ( s'approchant d'elle et lui violemment la taille et lui murmure à l'oreille) C'est toi que je veux.
J'étais K O. Mon coeur était en pleine bataille et mon corps était devenu électrique lorsqu'il a touché ma hanche. Mes joues étaient en feu. Mais je resta tête haute  pour lui répondre  sans pourtant le regarder droits dans les yeux.
Moi : Comment osez vous ? Rangez vos mains loin de moi !
Pegasus :( d'un ton autoritaire) Et si je dis non. Tu vas faire quoi.
Moi : Rien de tout cela  ne seraitjamais arrivée si tu ne m'avais pas enfermé pour rien ! Maintenant sortez de ma chambre.
Pegasus : Alors là pas question ! J'ai pas renvoyé tous les domestiques et gardes uniquement pour que tu me fasse perdre mon temps !
Alors c'est pour cela que je voyais personnes d'autres à part Benjamin.
Moi : Je crois que oui vous avez perdu tout ce temps et c'est moi qui en paye le pris. Fis je avec un regard glacial contrairement à lui.
Pegasus : ( en reculant) Très bien si c'est ce que tu veux. Je te traiterai comme tel.
Moi : ( soupire).
Pegasus : Maintenant vas prendre mon champagne au quatrième étage !
Moi : Bien. Imbécile ( à basse voix).
Pegasus : T'as dis quelque chose ?
Moi : N-non non.
Pegasus : Hum.
Une fois qu'il fut parti je mis une robe rouge courte confortable Gucci et des chaussettes qui arrivent à la cuisse. Je monta jusqu'à la quatrième étage .Une fois arrivée, j'étais grave essoufflée j'avais la tête qui tounait et je vis une pièce remplie de vin de chaque qualité cas même il a bon goût pour un vieux. En pensant à lui je  me suis regardée dans miroir qui séparait les étagères de vin puis quand mes yeux ce sont posés sur mes hanches je me souvenu de ce que Pegasus m'avait fait quelques minutes plutôt. Puis une force électrique me frappa. J'avoue que j'étais vraiment à l'aise et j'avais voulu qu'il ne l'enleve jamais. Mais je dit quoi moi ! Puis je sens mon bas ventre s'échauffer. Je descendis en espérant que la douleur de mes jambes me feront oublier tous ces pensés stupides. Arrivée à la porte de la troisième étage, mon coeur c'est mis à battre comme jamais. Mais je toqua cas même.
Et j'entends un ton  tout à fait glacial.
Pegasus : Qu'est ce qu'il y'a!
Moi : Je suis venue vous apporter votre bouteille de champagne.
Il mettait du temps de me laisser entrer ce qui m'énerva donc je décida d'entrer. À sa vu je l'avait pas reconnu il faisait du pompe. Il avait un Jogging gris ses cheveux gris étaient attachés dernière sauf une qui couvrait son oeil gauche et quand il se releva , oh Putin ses abdos il a juste un corps envieux de rêve il est juste parfais  puisqu'il était torse nu. J'étais bouche bée et inconsciente face à se spectacle qui s'offrait à moi que j'ai n'ai pas remarqué qu'il était devant moi à me parler jusqu'à ce que je me sentis secouer.
Pegasus : On se reprend princesses!
Moi : Hum?( secoue sa tête) Oh oui votre bouteille de champagne.
Pegasus : je suis BG ( beau gars) mais pas jusqu'à en baver une princesses ( sourire au coin).
Moi : même pas. Après tout ce que je suis entrain de faire.
Il m'obsreva pendant quelques longues minutes et repris son regard sérieux.
Pegasus : C'est bon tout ça mais c'était pas le vin que je t'ai demandé j'avais dit une bouteille de Whisky. Maintenant tu sais ce qui t'attends !
Alors là je n'en peux plus.Vraiment  il me fait chier tout le temps mais là ça dégénère même les esclaves ne sont pas traité de la sorte.
Moi : Cette fois ci j'en ai assez ! Tu me prends pour qui ? Pour ta mère peut être? Ou ton exclave .Tes parents devraient pas t'appeler Maximilien Pegasus mais juste Ramsès I. Fais de moi tout ce que tu veux mais je veux rentrer chez moi et vivre une nouvelle vie que je n'aurais jamais su avoir car toi tu n'es qu'un coeur de pierre tu ne sais pas ce que ça fait d'être  privée de sa famille et de la seule personne qui te reste comme famille ! !
Dis en sortant sans remarquer que j'avais des larmes aux yeux. J'étais hors de moi les souvenir ont commencé à défiler dans ma tête. Surtout ce jour ou je n'ai plus cru à l'amour.
"Flash back".
C'était une journée comme les autres dans le palais c'était la visite du roi de L'Oréal et sa famille. Donc le pharaon mon père avait organisé une soirée en leur honneur. Ils avaient un fils le prince Abidos . Depuis qu'on c'est rencontré à la fête, nous étions devenus très proches jusqu'à mon règne j'étais pharaonne et lui roi de L'Oréal quelques années après le couronnement on se voyait très peu mais on s'écrivait. Tout allait bien jusqu'au jour où.
Moi : Abi ?
Abidos: Oui Aty qu'est ce qui ne va pas ?
Moi : Eh ça fait plusieurs années qu'on se connaît depuis notre plus tendre enfance et je crois que je ressens quelques choses pour toi.
Abidos : Tu tu veux dire que tu m'aime ?
Moi : Je crois que oui .Dis je en tournant la tête. Alors ?
Abidos : Euh je. ( se grattant la nuque) je ne sais pas quoi dire. En faite c'est compliqué. Je t'aime c'est sur mais en tant que soeur et j'ai déjà une fiancé et je suis désolé.
Moi : Au moins tu m'as dit la vérité et c'est ça que j'ai toujours aimé chez toi et heureux ménage.
Abidos :  merci de m'avoir compris tu es invitée à mon mariage si tu veux bien.
Moi : Mais de rien voyons et oui je ne le raterai pas ça.
Depuis ce jour on s'est plus revue jusqu'au jour du mariage.
J'étais arrivée avec Atem Isis et quelques gardes royales. Atem se plaignait qu'il avait soif et j'ai donc demandé à Isis  de m'attendre . Quand nous étions partis près du buffet, Atem c'est mis à courir jusqu'en dehors de la salle du trône pour se rendre dans les couloir du palais et  passé devant chaque pièces je le poursuit en hurlant.
Moi : Atem reviens ici!
Atem : Attrape moi si tu peux .Dit- il avec sa petite voix.
Moi : Atem c'est pas drôle...
..: Tu es sur de ce que tu dis Abidos ?
C'était une pièces dont je poursuivis Atem. Je me suis mise à écouter.
Abidos: Elle a un corps d'homme elle ne fera que m'  humilier Karim.
Karim : J'espère qu'elle ne va pas  être célibataire  tout le restant de ses jours.
Moi : Ce n'est pas la peine je te porterai plus la poisde et je romps tout alliance tant que je serai pharaonne ! Dis je en intervenant et partie je avec Atem qui c'est inquiété des que je le suivait plus.
"Fin du flash back".
Et c'est depuis ce jour que j'étais devenue froide et distante avec tout le monde. J'avais jamais connu l'amour de mes parents et ces genres d'amour était mort depuis le jour où Abidos m'a fait ça et pour Pegasus ça passera sûrement. J'étais allongée sur mon lit en pleurant de tous mes larmes cachés par la froideur de tout mon mes bons souvenir d'enfance que j'ai raté et surtout de pas voir Atem grandir. Je Mr mis sangloter encore plus en pensant à ça. Je ne remarqua pas une présence jusqu'à ce que celui ci s'asseya au bord du lit.
Moi : Si c'est pour te moquer de moi ne te gène pas. Ce n'est  pas tous les jours qu'on voit son ennemi en larme.
Pegasus : On ne dit plus vous maintenant ?

Atinia l'ancienne pharaonne d'Égypte Où les histoires vivent. Découvrez maintenant