Deux grands latte. "L'amour autour d'un café."

CH.0: La rencontre.

Il y à unedizaine d'année, j'étais étudiants. Pour payé l'essence et lesdifférents frais, je m'étais dégotés un travail dans un petitcafé dans une rue discrète. Le café était légèrement décoré,quelque vieux tableaux, une vingtaine de tables et le double dechaise simplement. Chaque Week-end je me levais aux aurores pourservir le café au même tête grise et déprimée qui travaillaistôt. Dans ce genre de situations n'importe qu'elle personne atypiqueressort rapidement et un jour une tel personne apparût.

Un grand latte s'il vous plaît.

Une voix calme,posée venait de demandé un café, je levais la tête des tassessales pour découvrir une jeune fille devant le comptoir. Elle nedevait pas être plus vieille que moi, je dirais 19-20 ans. Lapremière chose qui m'a frappé chez elles sont ces yeux, d'un vertsombre et alourdis de lourde cerne. Ces lèvres légèrement charnuene montrait pas d'expression, ces cheveux rouges coulaient le long deces épaules et s'arrêtait quelque centimètres en dessous deceux-ci. Elle ne mesurait pas plus d'un mètre septante et arboraitdes formes légèrement plus larges que les "belles" fillesde l'époque.

Tous de suite mademoiselle.

Je préparais soncafé, jetant des regards vers elle de temps en temps, remarquant deplus en plus de détail à propos d'elle. Un grain de beauté dans lecou, ces habits, une chemise rouge à carreaux et un jeans troué,une paire de bottines noirs aux pieds, un piercings aux lèvres.

3 euros 50 s'il vous plaît.

Elle paie sacommande, me fais un petit signe de tête et part s'asseoir,regardants par la fenêtres comme perdues dans les étoiles, buvantpar petite gorgée le breuvage brûlant qui semblait la réveillée.Du jours ou je l'ai vue pour la première fois, une routine ce créa,chaque samedi, chaque dimanche, à la même heure, la même tête,les mêmes yeux, la même commande...

Je peux te demander ton prénom vus que tu viens souvent ?

Zofia, et toi ?

Jack, enchanté d'enfin connaître ton prénom Zofia.

Un simple sourire,le même signe de tête habituelle mais mon cœur oubliatemporairement comment fonctionné. Ce sourire m'avait achevé, ilvenait d'enfoncé au plus profond de mon cœur des sentiments pourcette fille, au plus profond de mon esprit cette image était gravéeà jamais.

Elle continua devenir quelque temps, trois ou quatre mois et puis du jour aulendemain plus rien.

Jack tu as encore fais un café en trop.

Bien sure,l'habitude, cela fessait un ans maintenant que je travaillais à cecafé et pourtant je préparais toujours sa commande comme si elleallait revenir.

Je le boirais boss, enlevé le de ma paye... comme d'habitude quoi.

Ma routine avaitchangé mais tellement peu, les même tête grises, il ne manquaitque la belle aux yeux émeraudes, et pourtant, elle ne venait plus.

Les annéespassèrent, j'avais obtenu mon diplôme en grande pompe et j'étaisdevenus une grande figure de la psychologie, découvrant destraitements par la paroles et l'hypnose pour des maladiesanciennement traité par médicaments. J'étais connus, j'avaisl'argent, la maison, la voiture, tous ce qu'une personne normalerêverait d'avoir. Cependant il me manquait toujours quelque chose.Il me manquait cette joie, ce sentiments profond d'amour. Il memanquait Zofia.

Chaque journéeétaient chargée, remplie de patient à voir, de personne hautplacée à rencontré, de jeune psychologue venant me questionné surmes travaux ou demandant simplement des autographes. Ma seulevéritable pause était des moments passé seul à boire un café.Chaque jour je prenais un quart d'heure pour boire un grand latte,assis à côté d'une fenêtre, la tête dans les nuages.

Et un jour, ce queje perçus comme un miracle arriva.

Je prenais macommande comme à mon habitude quand...

Un grand latte s'il vous plaît.

Un grand latte s'il vous plaît.

Une vois fémininevenait de prendre la même commande que moi au guichets d'à côté,j'entendis un petit rire, et je vis de nouveau deux émeraudesregardant dans ma direction.