CH.1: Les deux émeraudes.

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J'avais perdusl'habitude de boire ce café. Un grand latte, depuis que j'avaisgoûté ceux de Jack des années auparavant, chaque fois quej'essayais d'en boire un je le trouvais mauvais. Il faut dire qu'ilm'avait marqué, pas plus vieux que moi mais déjà haut de plus d'unmètre 80, avec deux bulles azures à la place des yeux, si iln'avait pas les yeux aussi bleu on aurait pus le prendre pour unacteur de film muet en noir et blanc, il avait la peau pâle et lescheveux d'un noir corbeau. Chaque fois qu'il fessait mon café je levoyais dans son tablier et lorsque j'avais enfin ma commande, jepouvais partir m'isoler dans mes pensées et tenter de trouvercomment l'abordé. Mais pour moi c'était perdus d'avance, je savaisqu'au bout de quelque mois j'allais être internée. Mes médicamentsne fonctionnait presque plus, si je n'arrivais pas à me calmé envoyant Jack, chaque soupire, chaque mot dit par d'autre gens auraitpus me rendre folle. Lui était différents bizarrement, je mesouviens encore le jour ou il m'a demandé mon prénom, ces jouesc'était mise à rougir comme deux tomates bien mures, et j'avoueque j'ai moi aussi sentis la chaleur monté aux miennes. Pour ne paslaissé le temps à mon visage de tourné pivoine j'avais simplementsouris, fais un signe de tête et j'étais parties m'asseoir comme àmon habitudes pour caché ma gène.


Cependant quelquemois plus tard s'en était finit de ce rêve. La maladie m'avaitrattrapée, une forme rare de schizophrénie qui me rendaitparanoïaque au plus haut point et extrêmement violente. Ce n'estqu'après une dizaine d'année qu'un nouveau psychologue de génieavait trouvé une nouvelle manière de traité certaine maladiementale, et un des psychologue au quelle il avait enseigné avaitprit soin de moi et réglé mon problèmes, j'étais enfin libre maisje ressentais un vide énorme. D'un côté ce sentiments de ne jamaisêtre seule qui venait de la schizophrénie avait disparut,maintenant j'étais seule maîtresse de mon destin, mais aussi etsurtout j'étais seule, sans ami ni amie, seul Jack restait encrédans mes pensées. Sans le savoir, ce serveur amicale était devenule piquet qui m'avait retenu à la réalité quelque temps en plus,mais tous cela était finit.

Rien qu'a pensé àsa une larme ce mit à coulé sur ma joue, mais bon, rien qu'un caféne puisse réglé, même si il sera sûrement encore dégueulasse, ilme remettra sûrement d'applond et me rappellera des bons souvenirs.

Je rentre doncdans ce café assez cotés dans la ville, un vrai repaire de personnequi ce la pète avec un café hors de prix, je ne sais même paspourquoi je m'étais rendus la-bas, tous ce que je sais c'est qu'aumoment de commandé.

Un grand latte s'il vous plaît.

Un grand latte s'il vous plaît.


La même commandeque moi, je ne pus m'empêcher de lâcher un petit rire, cetteinconnu et moi étions parfaitement synchro, même en s'entraînantce n'aurait pas été aussi parfait. Je regarde cette homme de hauten bas et je remarque qu'il me fixe, je fais sûrement tache, avecmon style un peu rebelle je suis différentes des filles à papa quitraîne dans ce genre de café, non monsieur, je n'ai pas devêtements de marque, non je ne suis pas une mendiante non plus allezon arrête de rêver et on regarde devant soit.


Je prends mon caféet part m'installer côté fenêtre, regardant dehors et rêvassantau passé, au bon vieux temps, à Jack.

Je prends unegorgée du latte, prête à avalé quelque chose d'amer quand mesyeux écarquille de surprise lorsqu'un liquide chaud et doux mefrotte les papilles, le même café qu'avant, je ne sais pas retenirmes larmes et je ne peux que les camouflés derrière mes cheveux.J'avais enfin retrouvé ce sentiments de joie à boire mon café, lejeune derrière le comptoirs ne pouvait pas être Jack, trop jeune,mais j'étais enfin comblé. J'avais retrouvé un café agréable etj'allais enfin pouvoir me remettre à le boire quotidiennement.

Deux grands latte. "L'amour autour d'un café."Where stories live. Discover now