Prostituée de mon cœur (Terminé)

Révélation

Les 2 semaines qui suivirent furent simple et sans histoire. Jérémy accompagnait Jenny a l'école à tout les matins et la raccompagnait tout les soir à la maison. Même si tout ça impliquait qu'il fasse plusieurs détour, Jérémy était heureux d'aider Jenny à se sentir plus en sécurité. Depuis qu'il l'accompagnait, Jenny était plus rayonnante à chaque fois. Il était conscient que si Jenny lui avait demander de faire se service pour elle, c'était une belle preuve de la confiance qu'elle avait envers lui, car elle n'aurai pas fait entrer n'importe qui dans sa vie priver. Depuis qu'il passait du temps avec Jenny, il se sentais plus heureux et avait hâte de se lever le matin. Il ressentait quel que chose de déjà vue mais de beaucoup plus fort lorsqu'il était avec Jenny.

Cette journée là, en arrivant chez elle, accompagnée de Jérémy, Jenny l'invita à prendre place sur le canapé. Jérémy, intrigué, s'assit. Jenny inspira un grand coup avant de dire:
- Je me sent prête à te raconté se qui s'est passé l'autre matin.
Jérémy prit sa main dans la sienne et la serra fort.
- Ne t'en fait pas, je sais que ce n'est pas ta faute tout ça. Je suis toucher que tu veuille m'en parler, mais si tu veux attendre encore avant de me parler je respecterai ta décision.
- Non, j'ai besoin que ça sorte.
- Je t'écoute, prend ton temps.
Jenny inspira profondément et commença son récit
- Comme tu le sais, Rico est parti, et il voulait que je me trouve un remplaçant et j'aurais due essayer de trouver ton numéro ou peut importe, mais j'étais trop gêner... et voilà, ce matin là, j'ai prit une très mauvaise décision, je suis parti seule. Je marchait rapidement, parce que j'avais peur, très peur. Je regardais mes pieds et j'étais impatiente de sortir de mon quartier. Et tout à coup un type sorti de la ruelle sombre devant laquelle je suis passer et se que je craignait se produisit, il réussi à m'attraper. Il commença à infiltrer ses mains sous mes vêtements, mais avec quelques coups j'ai réussi me défaire de son emprise. Je me suis mise à courir à toute vitesse comme à penser à se que je devais faire. Aller cogner cher quelqu'un s'était trop risquer, les locataires pouvait être absent ou je ne sais pas quoi. Je me suis donc dirigé vers chez moi pour appeler les secours. Mais bien évidemment, le type courait plus rapidement que moi, lorsque je fermais la porte il réussi à y coincer son pied. Il entra sans plus de façon. Je hurlais à en avait mal aux oreilles. Je ne voulais pas finir kidnappé par un homme et vendre mon corps pour lui. Coup de chance le voisin n'était pas aller travailler aujourd'hui, lorsqu'il entendit mes cris et qu'il vue la porte entrouverte il se précipita à l'intérieur et réussi à faire fuir mon agresseur. Sous le choque, je n'étais plus capable de parler. Le voisin non plus ne savait pas trop quoi faire je crois, il a dit quelque chose, mais je me rappele plus quoi et il est retourner cher lui en fermant la porte derrière lui. Clairement, n'importe qui aurai pu faire mieux, mais bon, j'étais toujours chez moi et en vie. 2 heures après tu es arrivé, tu ne pouvais pas imaginer comment j'étais heureuse de te voir!

Une larme coula sur la joue de Jenny. Jérémy avait le cœur en miette. Ce qu'elle avait vécu était épouvantable, personne ne méritait de vivre une chose pareil, encore moin Jenny.

Jérémy la prit dans ses bras et lui dit:
- La plus part des gens victimes d'agression sexuelle ne parle pas avant des années et des années, mais toi tu en a parler tout de suite, je suis fier de toi Jenny. Tu as fait la bonne chose. Un jour quand tu sera prête on pourra peut être aller en cour, comme ça a ton agresseur pourrai finir ces jours en prison et tu aurai la conscience tranquille.
- Si tu le fait avec moi, je pourrai peut être envisagée ça... un jour.
- Je suis tellement désolé que tu es eu à vivre ça...
Jérémy caressa les doux cheveux de Jenny. Les deux se mirent à pleurer en silence.

Après quelque minute Jérémy brisa le silence:
- Tu m'as raconté beaucoup de secret, j'aimerais moi aussi t'en révéler un.

Jenny essuya ses larmes.
- Je t'écoute.
- Si ça peut te rassurer tu n'es pas la seul qui a de mauvais parents. Mon père, que j'adorais, est décédé lorsque j'avais 10 ans. Ma mère a mal supporter sa mort et elle a radicalement changer. Elle est passer de la mère super gentille, qui ferait tout pour rendre son fils heureux, à la mère qui cherche des bibites et qui cri après son fils pour le plaisir. Ça m'a traumatisé... et puis lorsqu'elle c'est trouver un nouveau chum elle ne s'occupait plus de moi. Quand je fait quelque chose de mal, là, par contre j'ai le droit à un beau chant de cri... Heureusement, mon père avait plus d'une maison et lorsqu'il est mort il m'en a légué une. Lorsque j'aurai mon permis de conduire j'irai habiter la bas. Tu dois trouvé ça fou, mais bon...
- Non, au contraire, je suis la mieux placer pour comprendre ton désire de quitter la maison familiale. Si c'est vraiment se que tu veux, je t'encourage à le faire.
- Merci Jenny, dit Jérémy avec un petit sourire.
- Ce fut un début de soirée bien triste, que dirais tu d'un bon film pour rire un peu? Dit Jenny pour changer l'atmosphère lourde de tristesse.
- Tu veut aller au ciné pas loin?
- J'ai rien ici, alors oui.
- C'est moi qui invite!
- Bon, bon, bon, on verra ça là bas!