PDV Karma
Après réflexion je me suis dis qu'il fallait que je trouve ses putains de clés, je passe à nouveau par cette ouverture et me déplace silencieusement en me cachant derrière des caisses et des cartons et en zigzagant derrière dautres truc qui me permettent de me cacher, merci les cours dassassinat ! Pièces par pièces je me faufile sans être vu. Je fini par trouver une ouverture dans un mur et mis glisse, j'y rencontre un fou mais il à lair amicale celui-là. Pour changer....— Laisse moi juste j'ai besoin de te dire un secret.
Je me rapproche de lui et remarque qu'il a des bandages sur les yeux et sur la bouche mais qui ne lui empêchent pas de parler.
— Soyeux. Tu as l'air si soyeux. Laisse moi justejai besoin de te dire un secret.
Ooook se type divague complètement. Je continue donc mes recherches en le laissant dans son coin et trouve finalement la clé. Halleluya ! Je fis donc demi-tour et rebroussa le chemin, j'eu la chance de me retrouver en face de mon très cher ami : l'homme fou à la scie ! Vous sentez l'ironie ? Je me retourne et me met à courir, je lentends crier : « A MOI ! Tu es à moi ! » et se fou me court après !! J'arrive, par je ne sais quelle magie divine, à retrouver la porte d'où je venais et à repasser par l'ouverture. Jai sentis un grand frisson me parcourir lorsque je suis passé, j'ai bien cru qu'il allait m'attraper
Je déverrouille la porte et continu de chercher la sortie. Je me balade dans plusieurs pièces sans trouver une seule issue mais au moins, j'ai croisé personne. Après une bonne heure à me balader, jouvre une porte, tranquille tu vois, et là un type me pousse violement ce qui me fit valdinguer à l'autre bout de la pièce. Cest le fou à la scie ! Au p*tain ! il me tient au sol avec sa main gauche et brandi sa scie avec la droite en disant :
—La viande est mienne.
Il ramène la scie vers mon visage, je suis pétrifié, je n'arrive pas à bouger ! Alors c'est comme ça que je vais mourir ? Décapité par un vieil homme fou ? Mais cet homme sarrêta juste avant mon cou pour je ne sais quelle raison, il s'approcha de moi et me dit : « Tu restes ici. Et tu cuis » après quoi il me lança dans un fourneau derrière nous avec un rire digne du plus grand psychopathe de tout les temps. Je tapais de toute mes force dans le mur qui se trouvait derrière moi pour menfuir car je savais qu'il m'attendait de lautre côté de la grille. Je réussis à le défoncer grâce à l'adrénaline et me retrouva dans une pièce qui m'était inconnue, mais en me "promenant", je finis par retrouver mon chemin et c'est là que l'autre fou et apparue devant moi, à un croisement.... Mais il me suit avec un GPS ou c'est moi qui n'ai pas de chance ?! S'en suit une course poursuite et je réussis le semer en faisant tomber une armoire pour bloquer la porte d'où je venais. Je reprends mon souffle doucement, car je peux vous dire que j'ai eu la peur de ma vie, et franchement....ça épuise de tout le temps courir !
Jarrive devant une porte avec écrit EXIT dessus mais l'accès était verrouillé, un homme cogna de l'intérieur de celle-ci, me faisant sursauter comme pas possible, en criant:
— Coupez-le ! Coupez le gaz, sil vous plaît, je ne peux pas...
Paniqué je cherche un truc qui pourrai arrêter ce gaz mais rien à proximité. L'homme s'effondre, il est probablement mort. Je me dis que de toute façon...je n'aurai pas pu le sauver et puis....je ne sais pas pourquoi mais....ça m'a plus de le voir crever devant moi....je crois que je suis en train de devenir fou moi aussi....mais bon....pour l'instant mon seul problème est qu'il faut que jarrête se gaz si je veux sortir.
Je me mis donc à rechercher une salle de contrôle où il devrait y avoir un moyen darrêter se fichu gaz et de pouvoir déverrouiller laccès à cette putain de sortie....moi énervé ? Pas du tout. En ouvrant une porte il y avait un homme qui se trouvait juste devant, ce qui me fit sursauter et faire un bon en arrière l'homme se retourna, se dirigea vers le mur en face et se tape la tête dedans, quoi de plus normal me direz vous ? Je continu mon chemin et devinez qui je croise : l'homme à la scie mon poto ! Petite course poursuite, on ne s'en lasse pas. Je me cache sous un lit et il passe juste devant moi, c'est à ce moment que je me dis que je pourrais peut-être me le faire...au lieu de toujours le faire.... Houla Karma ! Tu divagues complètement là ! Ressaisis-toi et trouve un autre chemin ! Je vis un conduis au-dessus de moi et l'emprunta, j'ai toujours eu de la "chance" avec les conduits alors.... Je réussi à trouver la salle de contrôle, à couper le gaz et notre cher ami arriva à ce moment là, il ne veut pas me laisser tranquille....à croire qu'il n'y a que moi qui l'intéresse....
Contrairement à d'habitude, je ne le fuis pas. J'attrape une barre en fer, qui traînais dans le coin, et lui donne un bon coup dans sa vieille gu**le. Que c'est plaisant ! Je retourne à la fameuse porte et me retrouve à lextérieur ! Oui, je vais pouvoir sortir ?! Mais non, bien sûr il y a des grilles immenses avec des barbelés au-dessus ! Bah oui, si non cest pas drôle ! En cherchant quelque chose qui pourrait maider à franchir ses grilles j'entends notre très cher ami gueuler.
— Non ! Non ! Tu étais à moi !
Et bah il c'est réveillé finalement....et non mon coco ! Je n'appartiens à personne ! Je continue mon chemin, un drôle de sourire au lèvre, essaye d'ouvrir plusieurs portes en vain et arrive finalement à un côté "Prison Block" où j'ai eu la chance de voir un gars s'entraîner au basket avec une tête humaine, pourquoi pas. Apparemment les têtes humaines rebondissent plus facilement qu'un simple ballon. En suivant le chemin, je me suis retrouvé avec lui, il me regarde et dit :
— Rabat-joie.
Puis sapproche dangereusement de moi et essaye de me foutre un coup de poing que j'esquive facilement, il enchaine en me disant :
—Fou le camp ou tu vas y laisser la vie.
Après quoi un groupe de gars comme lui débarque avec des barres en fer dans les mains. Je ne sais pas pourquoi, mais je rigole tout seul.... je les vois se rapprocher de moi... j'attrape le premier et lui tord le cou, il tombe raide mort à mes pieds. Les autres gars reculent en voyant ce que je viens de faire, je prend la barre que le gars avait et les regardes avec ma tête de psychopathe.
— Eh ? Plus personne veut se battre ? *les gars reculent encore* Dommage...
Je sort du terrain et me dirige vers l'échelle que j'avais remarqué plus tôt, j'y grimpe calmement, en sachant que ses types ne me suivront pas. Arrivé en haut de celle-ci je vois un homme torse nu courir et crier :
— Revenez ! Vous devez revenir ! Vous ne pouvez pas nous faire ça.
Je ne sais pas à qui il s'adressait mais je m'en fiche, je veux me barrer moi ! Je vois que les cinglés ne m'on pas suivit, du coup je continue mon chemin et rencontre un autre gars accoudé à une barrière, il me disait:
— Ne les croyez pas. Ils disent que c'est de la science, mais c'est faux. Ils nous attendaient. Dans cet endroit. Billy la compris. Ils ont toujours été là.
Ooooook, je men fou. Je continue mon chemin en le laissant parler tout seul. J'arrive à entrer dans le bâtiment et à trouver la p*tain de radio dont les gars parlaient au début ! J'arrive à contacter le 911 qui me répondit : « Leadville 911, pour quelle urgence appelez-vous ? » J'allais répondre quand une main m'arracha le micro des mains et me poussa violement en arrière. Un type en costume détruisit la radio devant mes yeux à l'aide d'une batte de baseball, en fer, je me levais pour fuir mais il m'attrapa et me rejeta au sol. Il se mit sur moi et me dit en tentant de métrangler.
— Karma Akabane. Vous ne pourriez pas juste... Vous ne pourriez pas juste la fermer. Vous ne pourriez pas juste jouer le jeu. Mais vous en avez fini de parler, maintenant faite moi le plaisir de crever ici, Akabane.
Mais qui est ce type b*rdel ! J'essayais de me débattre mais tout devint de plus en plus flou et je fini par m'évanouir...
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Asile de fou...
FanfictionUne journée banale dans la classe E pour Karma, mais lorsqu'il décide de sécher les cours de l'après-midi, il se retrouve pourchassé par de drôle de type qui le transporte dans un asile. A l'intérieur, Karma devra chercher un moyen de sortir et surt...