PDV Karma
— une de plus. J'essaie encore et encore. Et vous me trahissez toutes.Il continue de me trainer par les pieds, m'attache une corde au niveau de mon cou et commence à me pendre. J'essaie tant bien que mal de me débattre et plus je me débats, plus il a du mal à me hisser jusqu'en haut.
— Tu es plus lourde que tu en à l'air ! Si c'est ça à la lune de miel, je peine à imaginer notre anniversaire.
Je ne lécoute pas et continue de me débattre de plus en plus fortement.
— Reste immobile. Bordel de merde qu'est-ce que.... Bordel, chérie, tiens-toi bien, ARGH ! Non, non, non, non....
Il glisse et il y eu quelques secousses qui me fis tourner sur moi-même, je sentis quelque chose m'agripper la main, je me retourne toujours dans les airs, suffoquant.
— Nous aurions pu être si beau.
Je retire assez violemment ma main, réussis à me dégager et retombe lourdement sur le sol. Je reprends mon souffle et me frotte la gorge pour essayer de diminuer la douleur quelle m'inflige. Je regarde l'homme qui est maintenant suspendu dans les airs, un pieux dans le bide, ce qui est sur c'est qu'il est mort....J'aurais voulu te tuer moi-même enf*iré...
Je retourne vers la porte que j'avais ouvert plus tôt. Je me trouve maintenant dans un long couloir ouvert, je pouvais voir une église bruler au loin. Puis en continuant ma route je vis à travers une grille des hommes de l'armée, mon instinct me disait de me taire et d'écouter leur conversation.
Officier 1 : Ouais. Quel genre de p*tain de cinglé ferait ça à quelqu'un ? Il a même pris son foutu pantalon.
Officier 2 : Bon, on a terminé ici, retournons au camion.
Et ils se dirigèrent vers la sortie, je ne sais pas pourquoi mais j'ai un mauvais pressentiment. Plus tard en continuant ma route j'entendis des coups de feu puis un officier crier :
— A toutes les équipes ! Recours à la force létale autorisé ! Je répète, recours à la force létale autorisé pour toutes les équipes. Tuez tout ce qui bouge.
Alors voilà pourquoi j'avais un mauvais pressentiment....je suis vraiment pas aidé. Je continue donc ma route en restant le plus éloigné possible de toutes vies humaines. Plus tard j'entendis de nouveau des coups de feu et un gars hurler:
— On a plusieurs hommes à terre dans le sous-sol ! Assaillant inconnu, il nous faut lévac et les ambulanciers. Non, bon Dieu.
— Bien reçu. On arrive. On est en route. Tenez bon.
C'est parfait. Pendant qu'ils vont les aider, moi je me faufilerais jusqu'à la sortie ! Je continue mon périple en essayant d'être le plus discret possible. Je me retrouve dans un endroit qui ressemble à un manoir, c'est bien décoré mais on peut y voir beaucoup d'endroits barricadés et des cadavres par-ci, par-là.
Je me retrouve dans le hall de se manoir et vois les deux portes principales grandes ouvertes. La sortie ! Enfin ! Je me dirigeais difficilement vers celle-ci et vis un homme assit à l'entrée, appuyé sur l'une des portes. En me rapprochant, je reconnu l'homme qui avait détruit la radio et qui avait tenté de me tuer en métranglant.
— Akabane. Comment est-il possible que vous soyez encore en vie ? Faisons un marché. Vous maidez, et je vous aiderai.
Je me rapproche, pas pour laider mais pour sortir et il me dit.
Homme: Aidez-moi à me lever. Sil vous plaît.
Moi: tu peux toujours crever !
Lui dis-je avec un regard noir. Je tentais de passer mais il m'agrippe, se leva et cria en brandissant un couteau.
— Crève, bordel !
Il me poignarda une fois, mais avant qu'il n'enfonce la lame dans mon corps une seconde fois, je le pousse et me recule de quelques mètres. Et m'assis sous le coup de la douleur, il se releva et sapprocha de moi le couteau à la main.
— Personne ne peut savoir. Personne !
Il allait me redonner un coup de couteau lorsque le fantôme du début débarqua et l'attrapa pour le faire flotter dans les airs. Je l'entendais hurler.
— Argh ! Putain de mer- Eurk. Oh seigneur, oh Dieu tout-puissant, comment est-ce qu'il est sorti
L'esprit le jeta dans tout les sens puis le repris pour le démembrer juste au-dessus de moi. Je pris une sorte de douche de sang... le fantôme partit et me laissa seul, je regarde la sortie et me lève très difficilement à cause du coup de couteau de tout à lheure, je me dirige enfin vers la sortie. Je sors de ce bâtiment monstrueux, je traverse d'immenses jardins avant de pouvoir enfin franchir les grilles de la liberté.
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Je marchais sur la route en voulant m'éloigner le plus possible de cet endroit horrible. Une voiture passa à côté de moi et s'arrêta quelques mètres plus tard, un jeune couple descend de celle-ci et vient à moi:
JH: Ça va mon garçon ?! Que t'est t'il arrivé ?
JF: J'appelle une ambulance !
Moi : Je....q-qui êtes vous ?
JH : Je mappelle John et voici ma femme Silvie, Et toi comment t'appelles tu ?
Moi : K-Karma Akabane
John : Karma Akabane ?
Moi : *hoche la tête positivement*
John : D'accord, je vais te demander de tassoir. Je vais te chercher un peu deau daccord ?
Moi : D'accord...
Silvie : C'est bon l'ambulance est en route ne t'en fais pas.
John : *revint avec un verre deau* Tiens bois.
Moi : merci *bois le verre deau*
Quelques minutes plus tard l'ambulance arriva et je ne dis plus un mot. J'étais encore traumatisé par ce qui m'était arrivé. Mais aussi, j'avais l'étrange envie de vouloir tuer encore et encore.....ça m'effrayait....Je fini par m'endormir dans le véhicule. Je me réveille et vois toute la 3ème E autour de moi. En me voyant me réveiller, ils se jetèrent sur moi et se mirent, pour la plupart, à pleurer. Je ne pu leur raconter se qu'il métait arrivé ses derniers jours.... tout se dont j'avais envie....était de les tuer.....
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Asile de fou...
FanfictionUne journée banale dans la classe E pour Karma, mais lorsqu'il décide de sécher les cours de l'après-midi, il se retrouve pourchassé par de drôle de type qui le transporte dans un asile. A l'intérieur, Karma devra chercher un moyen de sortir et surt...