Une jeune femme rencontre par tout hasard un bel homme, plus âgé qu'elle et marié. Une attirance mutuelle va se développer avant de se donner l'un à l'autre mais seulement pour le sexe.
Vont-ils céder ? A vous de lire la suite.
Chris conduisait ma petite fiat 500, sur le chemin du retour à la maison. Je regardais le paysage en pensant à ce que j'avais ressenti lorsqu'on était avec l'infirmière. Quelque chose clochait et j'en étais persuadée. Chris, lui conduisait sans se rendre compte de rien, sa main était posée sur ma cuisse quand il me dit : «Qu'est ce qu'il se passe ? Tu ne dis plus rien depuis tout à l'heure, ça va ? - Je suis désolée... Mais c'est l'infirmière de toute à l'heure... Je sais pas pourquoi, mais j'ai un mauvais pressentiment.» Il ne dit rien, pas très convaincu. «Je serais plus rassurée que tu fasse le test, une seconde fois, mais avec mon médecin traitant que je connais très bien... - Non ?! Tu veux que je refasse le test ?!» A ce moment précis, j'avais l'impression d'être complètement folle. Je ne dis rien et colle ma tête sur ma vitre, juste dégoûtée de sa réaction mais aussi de la mienne. C'est vrai qu'on dirait une vrai parano !
Pendant ce temps A l'hôpital Camille, rangeait ses papiers et allait placer les prélèvements effectués sur Chris quelques temps au paravant, dans une enveloppe pour les envoyer au centre de recherches. Elle appelait ensuite quelqu'un, il s'agissait d'une femme. Une femme que Chris et Mila connaissait bien...
« C'est bon. Les échantillons sont envoyés au centre de recherches. Par contre ça prendra bien entre 7 à 10 jours pour avoir les résultats. - Tres bien. Tu sais ce qu'il te reste à faire ensuite. Et le plan est en marche. Appelle-moi quand tu as les résultats, je viendrais les chercher moi-même. » L'appel ne durait que quelques secondes mais tout était clair. Elsa voulait absolument récupérer son Chris. Et elle irait même jusqu'au mensonge sur l'identité du père de son futur bébé. Camille était une amie à elle. Pas très proche, certes, mais assez quand on sort le porte-monnaie. Toujours avec son téléphone dans la main, Camille se sentait mal... mais c'était maintenant trop tard; le plan était en marche, elle ne pouvait plus faire marche arrière.
PDV de Mila Nous arrivâmes enfin chez moi mais dans un silence.. le plus total. Je savais que je n'aurais pas dû directement aborder mon idée. Il est vrai qu'il avait passé une journée assez éprouvante comme ça. Nous rentrâmes chez moi, je posais mes clés et m'affalais sur mon canapé. Chris vint rapidement à côté de moi et il entrelaçait ses doigts et les miens. Je levais les yeux vers les siens. « J'ai dis quelque chose qui ne fallait pas ? - Non, c'est moi. C'est rien. Laisse tomber. - Non. Je ne vais pas laisser tomber. Ok ? Je veux qu'on se dise tout. Je ne veux pas te voir comme ça, refermé sur toi même. - Non, je suis juste encore... secouée de cette histoire. Mentais-je. » Il n'ajoute rien et me prend dans ses bras me répétant que tout ira bien. Mais je n'en étais pas convaincue. Du tout. On s'embrasse et moi je file préparer le dîner avec l'aide précieuse de mon amoureux (qui ne fait que de me déconcentrer !) Ses baisers dans mon cou me rende folle et il se sait parfaitement. Je laissais tomber les ustensiles que j'avais dans les mains, et lui sautais dessus. Je le sentais de raidir, du bas de mon ventre. Pas la peine d'aller dans la chambre, le canapé est plus proche. C'est fou. Il y a dix minutes même pas, je faisais à moitié la gueule et là, on allait faire l'amour. C'est fou la connexion qu'on a. Très vite, on se retrouve tous les deux en sous-vêtements. Aujourd'hui je portais un ensemble rouge, un que j'adore et que lui aussi, je peux vous le dire.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Il l'enlève et s'attaque à ma poitrine, durcit par l'envie de lui. Il descends un peu et se redresse assez vite et file en courant dans la cuisine. Je reste là, allongée, toute nue dans l'incompréhension la plus totale. Il ramène un verre contenant du vin blanc et des glaçons à l'intérieur. Il prend une gorgée et me tend le verre, et j'en prends une à mon tour. Il pose le verre sur la table et revient sur moi le sourire aux lèvres. Il m'embrasse, introduit sa langue dans ma bouche lorsque je sens une sensation de froid s'introduire dans ma joue. En effet, il s'agissait d'un glaçon. Je le garde un peu dans ma bouche, savourant le goût du Chardonnay puis le transfère dans sa bouche. Il sourit, encore, puis descends vers mon abdomen pose le glaçon sur celui-ci. Je sursaute à cette sensation mais souris assez vite, c'est vrai que c'est pour ça que j'adore faire l'amour avec lui... Nous ressentons plein de sensations différentes, ce qui rend la partie encore plus excitante ! La boule glacée glisse le long de mon ventre jusqu'à mon nombril, ou il vient se loger délicatement. Chris est occupé, à me lécher mes parties intimes, jouant avec sa langue qui me faisait terriblement du bien, j'étais à deux doigts de jouir. Il me suce le clito tranquillement, puis, remonte jusqu'à mon nombril ou le glaçon commençait à fondre. Il aspirait l'eau d'une traite et pénétra en moi et fit de longs vas et viens en moi, de plus en plus vigoureux et forts. On eut notre orgasme presque en même temps avant, qu'il s'écroule à côté de moi, essoufflé. Il m'embrasse une dernière fois avant de commencer à s'endormir. Quant à moi, eh bien. D'habitude, je suis la première à dormir après l'amour mais là.. le retour à la réalité est rude. Je suis sure et certaine que quelque chose cloche avec cette Camille. Mais bon ! Comment faire si il ne veut pas refaire le test ?! Je cogite une bonne partie de l'après-midi, quand j'ai une idée... Je ne cogite pas plus longtemps, et vais continuer de préparer à manger. Quelques temps après, le bruit des gamelles réveillait Chris, qui me rejoignait assez vite dans la cuisine pour m'aider, de manière plus sérieuse cette fois. Je le regardais et commençais à préparer mon plan. Je me sentais mal évidemment mais mon instinct me prévenait que quelque chose n'allait pas.
