CHAPITRE VINGT-ET-UN : S'il te plaît, je t'en supplie ne pars pas...
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Tu toques à ma porte.
Il est bien trop tard et je suis à moitié endormi.
J'oublie tout et te laisse entrer.
Tes yeux rougis montrent que tu as pleuré.
Tu agrippes mon t-shirt, me rapprochant de toi.
Je te prends dans mes bras.
Je te berce doucement.
Les mots que tu prononces font battre mon cœur à toute allure.
« Je t'en supplie, ne pars pas... Je t'aime. »
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