28 Aout 2019 - 23h00

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Nous parlerons à nouveau d'amour et de ma relation ici, vous pourrez voir/remarquez, que ça sera souvent sur ce sujet que j'écrirais. Écrire est libérateur pour moi. Et en ce moment, j'ai vraiment besoin de me libérer de tout ses fardeaux.

Il y a un morceaux de notes en gras, c'est parce que j'y ai ajouté une description tout à la fin de mon récit. Pour vous expliquez plus en détails.

« Un soir de plus, ou je me couche pleines de doutes et de craintes, sur ma relation avec lui. J'aimerais tant qu'il m'exprime plus ses sentiments, qu'un soir il m'attrape par les hanches, me regarde droit dans les yeux et me disent quelques choses du genre :

" Tu sais L*****, tu es quelqu'un de vraiment exceptionnelle et je t'aime tellement. Même si bien souvent, je te dis que je m'en bas les couilles de toi, et que quand je suis énervé, je te dis des choses odieuses, il faut que tu saches que c'est faux. Je ne le pense pas. Tu es une importante partie de ma vie, et je ne me voie pas te perdre. On a beau se disputer souvent, tu es vraiment mon rayon de soleil. Tu es la pépite de mon quotidien. Je peux te promettre que tu n'as rien à envier et à jalouser à quiconque, je n'ai d'yeux que pour toi, et la femme formidable que tu es. Je t'aime fort mon trésor "

et qu'à la suite de ce beau discours, il m'embrasse amoureusement. Mais à la plage de ça, j'ai des discours bien moins romantiques dans ce genre :

" de toute façon, tu n'es qu'une vielle meuf, tu ne sers à rien, à part à me casser les couilles. Dégages de chez moi, retournes chez ta mère, espèce de casos. Je n'ai pas besoin d'une meuf comme toi dans ma vie. Tu ne fais que me la pourrir. Et de toute façon, je ne t'aime pas/plus. "

Ce n'est pas tout à fait pareil, n'est ce pas ? Ça ne procure pas tout à fais les mêmes émotions.  Bien que dans les deux cas, je me mettrais à pleurer, ce ne serrait pas dans le même sens. ( il faut savoir que je suis très sensible et émotive ). Dans le premier cas, je pleurerais de joie, de bonheur, suite à ses aveux; alors que dans le deuxième cas, ce serait de tristesse. Ne pas être sur des sentiments de son copains, c'est vraiment horrible. On est tiraillés entre essayer de sauver son couple ou ne rien faire. Au début, j'ai essayer de le sauver, j'ai fais un tas d'efforts, j'ai change des parties de mots qui ne lui convenait plus, tout sa pour lui plaire, lui faire plaisir. J'ai douté de moi et de mon corps. Mais ça n'a rien changé, il est rester le même, froid. Alors maintenant, je laisse les choses se faire. Je reste dans la crainte qu'un beau jour, il m'annonce que finalement, il abandonne,  qu'il ne m'aime plus, ou ne veuille plus que je fasse partie de sa vie. C'est ma plus grande crainte. Alors je garde espoirs, qu'à la place de sa, un beau jour, il me prenne dans ses bras, me regardant dans le blanc des yeux et m'avoue son amour, combien il m'aime, combien je compte pour lui, combien je suis important à sa vie. Car tant qu'il y a de l'espoir, il y a de la vie. »

( Ps: C'est chez nous, mais quant on a emménagé, nous n'avons mis uniquement son nom sur le bail, d'où la réflexion « chez moi » qu'il me sort souvent. )

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