chapter 40

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PDV de Fadel

Je suis au bureau actuellement. J'ai convoqué une réunion avec l'administration.

Ma secrétaire entra

Elle : monsieur, la police est là

Moi : police ?

...?: oui monsieur

Moi : Mlle Ndiaye, vous pouvez y aller, je m'occupes d'eux

Elle partit

Moi : Malick ? Assieds toi  s'il te plaît

Malick : vous devriez nous suivre M.Sall

Moi : je ne comprends pas

Malick : tu as en ta possession des biens illicites. Alors suis nous.

Je me lève et les suis. Je ne comprends absolument rien de ce qui se passe. C'est dans ce genre de situation que j'ai besoin de Fatima.

30 minutes plus tard
Au poste de police

Malick : nous devons vous placer en garde à vue. La Dic fait son enquête.

Moi : mais j'ai le droit de parler à mon avocat.

Malick : ok pas de soucis

Il s'en va

Tout ça aurait été plus facile si j'avais appelé Fatima

PDV de Fatima

Moi : alors ?

Malick : il est en cellule

Moi : je dois faire quelque chose

Malick : tu n'est ni son avocat, ni sa secouriste. Alors Fatima tu arrêtes et tu te mets au boulot. J'ai besoin de ce dossier tout de suite

Moi : mais....

Malick : j'ai dit tout de suite

Moi : Malick, trouves toi quelqu'un d'autre à qui tu peux confier ton putain de dossier. Je n'ai pratiquement pas besoin de tes ordres. Garde les pour toi seul. Ciao

Je quitte son bureau et sors du poste. J'appelle mon frère

Moi : tu es où

Lui : je suis là, soeur. Du calme

Moi : on y va

Lui : tu comptes aller où ?

Moi : voir Fadel

Lui : allons y

5 minutes plus tard

Nous sommes là dans la salle d'interrogation avec Fadel

Lui : il m'a parlé d'un certain programme d'aide aux entreprises en collaboration avec le ministère du travail

Moi : ça n'existe pas

Fadel :  ça ne sert à rien de me le dire maintenant. Si tu étais présente, tu m'aurais éviter tous ces problèmes. Cria t'il

Moi : tu t'entends parler ? Ne me les mets surtout pas sur mon dos. Un seul coup de fil suffisait

Fadel : et tu viendrais ? Dit il en criant

Moi : je te laisse répondre à ta question. Mais comme tu n'avais pas besoin de mon aide, je préfère rester en dehors de tout ça

Fadel : tu m'aurais pardonner ?

Moi : tu sais, les mots peuvent se pardonner mais on ne peut pas les oublier. Moi, j'aurais pu apporter mon aide , si tu me l'avez demandé

Frères de sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant