PDV de Fadel
Je suis au bureau actuellement. J'ai convoqué une réunion avec l'administration.
Ma secrétaire entra
Elle : monsieur, la police est là
Moi : police ?
...?: oui monsieur
Moi : Mlle Ndiaye, vous pouvez y aller, je m'occupes d'eux
Elle partit
Moi : Malick ? Assieds toi s'il te plaît
Malick : vous devriez nous suivre M.Sall
Moi : je ne comprends pas
Malick : tu as en ta possession des biens illicites. Alors suis nous.
Je me lève et les suis. Je ne comprends absolument rien de ce qui se passe. C'est dans ce genre de situation que j'ai besoin de Fatima.
30 minutes plus tard
Au poste de policeMalick : nous devons vous placer en garde à vue. La Dic fait son enquête.
Moi : mais j'ai le droit de parler à mon avocat.
Malick : ok pas de soucis
Il s'en va
Tout ça aurait été plus facile si j'avais appelé Fatima
PDV de Fatima
Moi : alors ?
Malick : il est en cellule
Moi : je dois faire quelque chose
Malick : tu n'est ni son avocat, ni sa secouriste. Alors Fatima tu arrêtes et tu te mets au boulot. J'ai besoin de ce dossier tout de suite
Moi : mais....
Malick : j'ai dit tout de suite
Moi : Malick, trouves toi quelqu'un d'autre à qui tu peux confier ton putain de dossier. Je n'ai pratiquement pas besoin de tes ordres. Garde les pour toi seul. Ciao
Je quitte son bureau et sors du poste. J'appelle mon frère
Moi : tu es où
Lui : je suis là, soeur. Du calme
Moi : on y va
Lui : tu comptes aller où ?
Moi : voir Fadel
Lui : allons y
5 minutes plus tard
Nous sommes là dans la salle d'interrogation avec Fadel
Lui : il m'a parlé d'un certain programme d'aide aux entreprises en collaboration avec le ministère du travail
Moi : ça n'existe pas
Fadel : ça ne sert à rien de me le dire maintenant. Si tu étais présente, tu m'aurais éviter tous ces problèmes. Cria t'il
Moi : tu t'entends parler ? Ne me les mets surtout pas sur mon dos. Un seul coup de fil suffisait
Fadel : et tu viendrais ? Dit il en criant
Moi : je te laisse répondre à ta question. Mais comme tu n'avais pas besoin de mon aide, je préfère rester en dehors de tout ça
Fadel : tu m'aurais pardonner ?
Moi : tu sais, les mots peuvent se pardonner mais on ne peut pas les oublier. Moi, j'aurais pu apporter mon aide , si tu me l'avez demandé
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Frères de sang
General Fictionil est là, l'autre vit à l'autre bout du monde ils s'aiment et se détestent même points communs, mêmes points de divergence leur vie était lié et sera liéé pour toujours