partie 17

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PDV de Fatima

Je suis épuisée. Sûrement à cause de toutes ces journées passées.
Aujourd'hui, c'est Dimanche, donc je vais simplement me reposer. Mon frère,lui,il est sorti Avec Omar. Ces deux là,ils ont les mêmes points communs. Leur sens de l'humour est unique. Ils ont aussi des traits en commun.
Je suis dans mes pensées Quand on sonna à la porte. Je mets un jellaba et vais ouvrir.
Je tombe direct sur Fadel. Celui-ci, c'est vrai qu'on a pas vraiment parlé à cause des évènements passés.

Moi : ah Fadel, entres

Il exécute

Lui : Cva ?

Moi : ça peut aller et toi ?

Lui : super, tout ça maintenant c'est du passé

Moi : que ça te serve de leçon. Je reviens

Je vais dans la cuisine chercher des rafraîchissements et je reviens. Je lui sers et on se pose

Lui : je voulais vraiment te remercier

Moi : ah bon ? Et pourquoi ?

Lui : pour tout ce que tu as fait pour moi. Vraiment, je ne sais pas Quoi dire

Moi : c'est gratuit Fadel, ne me remercie pas

Lui : tout va bien ?

Moi : pourquoi cette question ?

Lui : t'as l'air  de ne pas être dans ton assiette

Moi : Cva, c'est juste la fatigue de ces derniers jours

Lui : ohh,tu as raison. Je vais te laisser te reposer. Je repasserai

Moi : euhh.....r.... R

Lui : oui ?

Moi : tu veux bien rester avec moi ?

Lui : Avec plaisir

Moi : mais y'a pas de déjeuner

Lui : t'inquiètes pas

Moi : désolé Fadel

Lui : pourquoi ?

Moi : pour mon comportement envers toi ces derniers jours

Lui : je ne comprends pas

Moi : Arrêtes de faire ça

Lui : je fais quoi ?

Moi : c'est bon laisse tomber

Lui : donc,tes excuses ne seront pas acceptés

Moi : tu dis que tu ne sais pas de quoi je parle ?

Lui : alors expliques moi

Moi : je t'ai dit de laisser tomber

Il secoue la tête de gauche à droite

Moi : OK. Je me suis mal comporté. Tu ne méritais pas que je te boudes pour une semaine à cause de Fatma, tu sais. Je croyais que tu l'aimais

Lui : et qu'est-ce qui t'a fait changé d'avis ?

Moi : mon frère

Lui : il a dit quoi ?

Moi : je ne vais pas te le dire

Lui : ok. Fatima,tu dois me croire quand je te dis que je t'aime. Je n'ai jamais été aussi dingue d'une femme. Oui, je suis arrogant et idiot,mais je t'aime

Moi : Fadel

Lui : Oui ?

Moi : moi aussi, je crois que je t'aime

Frères de sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant