Lucifer

8 2 0
                                    




Je ne parviens pas à abandonner les vestiges passés 
De la douceur de tes bras m'enlaçant
Ni de la tendresse de tes regards me couvant.
L'Amour même ne pouvait rivaliser face à toute cette affection
Dont tu me prodiguais sans compter.

Et ta soudaine ressemblance avec cet ange déchu qu'est Lucifer
Détonne face à ton apparence de divinité désormais révolue.
Je ne ressens plus que la douleur de mon coeur se brisant
En entendant tout ces mots tranchants sortant d'entre tes lèvres.
Et me voilà, dotée d'un trou béant dans la poitrine et d'une âme meurtrie remplie de maux.

Pensées Dispersées; Recueil de poèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant