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27 janvier 2019
Moi aussi parfois je disais que tu me manques. Je comptais moi aussi le temps avant que tu reviennes.
Et maintenant j'ai la haine contre ces gens qui comptent le nombre d'heures sans leurs gens, ils en sont à 7 et moi à 30 441. J'ai juste envie de leur hurler de fermer leur gueule car ils savent que ces gens vont revenir. Mais je laisse faire parce qu'après, on me dira que je ne pense pas assez aux autres. Les autres, les autres et les autres... jamais on a songé à ce que ça pouvait engendrer de ne plus t'avoir à mes côtés. Il faut toujours penser aux autres avant de se soigner soi même. J'ai envie de hurler à ces gens de vraiment la fermer, parce qu'ils savent qu'aujourd'hui, que demain, il verront ceux qu'ils aiment, mais pas moi. Parce que j'ai la vague mais pesante impression de déranger au sein d'une communauté ou d'une relation déjà établie, et qui se comporte mieux, bien mieux sans ma présence.

on appelle ça des citationsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant