PDV Bakugô :
Je comprends rien, j'suis perdu. Bordel, ça m'énerve à un point. Je l'ai vu s'écrouler, il était si fragile à cet instant, j'ai senti ma poitrine me serrer j'ai cru que j'allais suffoquer....merde...Je l'ai porté, puis je me suis écroulé trop épuisé, et je l'ai vu pleurer. Je sais même pas pourquoi mais je me suis adouci. Au début je ne voulais pas croire double-face quand il a dit que Kirishima s'était mis à pleurer et s'insultait...Mais maintenant, je dois bien avouer qu'il y a quelque chose qui cloche. Déjà son visage, jamais je ne l'avais vu si brisé et c'était la première fois qu'il me criait dessus comme ça.
Ochaco me saute au cou, putain qu'est-ce qu'elle est chiante celle-là. Je la dégages d'un mouvement de main, elle se met à bouder. Toujours là me faire chier, j'arrive pas à croire qu'elle est ma meuf.
« Tu devrais avouer tes sentiments à Eijirô et quitter Ochaco »
Et Mina commence pas à venir hanter mes pensées. Je n'aime pas Kirishima, je m'inquiètes juste pour ce petit débile.
"Bakugô, qu'est-ce qu'il s'est passé avec Kirishima ?" Me demande-t-elle
"Rien qui ne te concerne, maintenant fout moi les basques, c'est clair ?" Lui répondis-je
Elle me regarde outrée, une mine déçue sur le visage.
"C'est quoi ton problème Bakugô ? On est en couple, on devrait pouvoir tout se raconter non ?" Argumente-t-elle
"On n'est pas en couple. Je ne t'aime pas. Je ressens rien pour toi ok ? Je n'ai pas besoin de toi dans ma vie. D'accord ? T'es chiante comme Deku et à la base si je voulais sortir avec toi c'était seulement pour foutre le seum à ce nerd . Retournes avec lui ! J'ai besoin de vacances et pas d'un petit chihuahua qui me colle au cul. " Soupiré-je
Elle a les larmes aux yeux, il ne manquait plus que ça. Je vais passer pour le connard de service maintenant, quoi que, j'en ai rien à faire en fait de ce que les gens pensent de moi. Je suis juste trop bien pour cette bande de pourritures jalouse.
"Tu sais quoi Bakugô ? Va te faire voir !"
Elle me crie cela dessus puis part en courant. Hé merde....Toute la classe va me faire chier maintenant. Je grogne, et part vers ma chambre. Je percute quelqu'un, je cries sur cette personne qui se met à hurler.Attends, c'était pas une voix féminine à l'instant ?
"Aïe aïe aïe " Se plaint Mina
"Qu'est-ce que tu fou d'ici l'alien, c'est chez les mecs ici" Lui rappelé-je
"À cause de toi, je me suis sûrement fait un bleu aux fesses. Je suis venue voir Denki mais je voulais passer te voir."
"Dégages"
"Alors comme ça on fait pleurer sa petite-amie ?"
"Va crever"
"Et Kirishima, il va mieux ?"
"J'sais pas"
"Hum...Tu l'aimes ?" M'interroge-t-elle les yeux brillants
"JE T'AI DÉJÀ DIS NON ALZEIMER PRÉCOCE !" M'énervé-je
"Pourtant tu rougis. C'est vraiment trop chou, un Bakugô gêné. T'as déjà penser à l'embrasser ?"
"NON !"
"Ouais c'est ça petit pervers. Je vois bien tes yeux fuyants et à mon avis t'as déjà imaginer plus que ça. Mais mÔnsieur Bakugô est incapable de s'avouer à lui-même qu'il est amoureux d'un certain roux enfin....brun...."
"La ferme" Ordonné-je les joues voilées de rouge
Elle part en sautillant, cette fille est la pire fouine de l'univers, j'ai jamais vu ça. Et pourquoi ça l'intéresse autant de savoir ce genre de choses, hein ? Arrrrgggg....Elle m'énerve ! J'ai jamais pensé à embrasser Kirishima moi *s'imagine la scène*.... ARRRRRRRGH NAN NAN NAN NAN ! TOUT ÇA C'EST À CAUSE DE CETTE MEUF !!!! *crie tout seul*
Bon j'arrête, j'vais vraiment finir par passer pour un con à crier comme ça. Et si j'allais jeter un coup d'œil dans la chambre de Kiri ? Juste pour voir si il va un peu mieux ?
J'vais sûrement me faire jeter mais bon...J'ouvre lentement la porte. J'entre à pas de loup et longe le mur dans une discrétion totale, non je rigole, j'entre comme d'habitude, enfin presque, parce que je ne cries pas. Il dort ....Je m'accroupis face à lui et caresse ses cheveux en silence. Il est vraiment canon ....*se rend compte qu'il vient de complimenter quelqu'un*, *se rend compte qu'il trouve Kirishima beau*, *se rend compte que la voix de Mina le hante*, *se met à crier intérieurement*.
Il ouvre les yeux doucement, merde, peut-être que j'ai appuyé trop fort sur sa tête. Il m'attrape la main et me tire, je me retrouve sur lui. Et je l'écrases complètement en fait. Putain...C'est grave gênant. Je sens nos corps l'un contre l'autre et je chauffe instinctivement. Il veut que je lui sautes dessus ou quoi.
« Tu aimes Kirishima ?»
« Tu aimes Kirishima »
« Tu aimes Kirishima ! »
« TU AIMES KIRISHIMA !!!!!!»
« VIVVVVVVEEEEEEE LE KIIRRRIBAKKUUUUUUUU !!! FOOOOOOORRRR THEEEEE LIFFFFFFFFFFEEEEEEEEEE"
MAIS FERME TA PUTAIN DE GUEULE MINA ! OU JE T'ÉTRANGLES ET TE FAIT BOUFFER UN TRONC D'ARBRE !
"OÏE SHITTY HAIR !"
"Arrête de crier Bakugô."
"TU ME DONNES PAS D'ORDRES !-"
J'allais encore lui gueuler dessus mais il m'a plaqué sur son lit. Qu'est-ce qu'il fout ....?! Ma respiration s'accélère tandis que mon coeur martèle ma poitrine. Il se rapproche de mon oreille et me souffle :
"Tu la fermes Bakugô, c'est compris ?"
C'était quoi cette putain d'aura. Et surtout ce regard de tueur.
"SI TU CROIS QUE JE VAIS T'OBEIR ENCULÉ"
Après ces paroles très douces, il me mord la peau du cou. Je pousse un cri tout sauf viril, genre super aigu...j'ai gémi en fait ....Sa langue remonte le long de mon cou et il pose un baiser sur ma pomme d'Adam. Il se relève, et me fait un léger sourire amusé.
"Bah voilà, quand tu veux, tu peux savoir te taire."
Il file à la douche sans rien me dire de plus. Il vient de se passer quoi là....J'ai été ....soumis ? *rougit violemment*. Ce merdeux, je vais l'enculer, le démembrer, le jeter par la fenêtre, fracasser sa tête contre un mur, je vais aussi le [l'auteur censure les pensées de Bakugô pour raison d'extrême violence].
Et pourquoi je suis excité moi....J'ai vraiment un problème en fait. Bref, je vais lui faire sa fête quand il aura fini ....Il va morfler.
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Keep my secret ✔️
FanficKirishima Eijirô, élève du prestigieux lycée pour super-héros du nom de Yuei a un secret. Il est homosexuel. La seule au courant est Ochaco, une camarade de classe datant du collège, elle lui a mis promis de garder le secret. Mais quand haine, ja...