Chapitre 20

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Média: la vraie Cassandra Florentino

- Le ciel est vraiment très beau ce soir tu ne trouves pas? Demanda Cris d'un air innocent

- et j'ai l'impression que la nuit va être curieusement longue pour nous Cassandra dit-il d'une voix rauque où perçait le désir

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Cela faisait maintenant une demi heure qu'ils étaient sortit de cette soirée et qu'ils étaient rentrés à l'hôtel

Aturo était dans la douche depuis un bon bout de temps et Cristela debout au milieu de la chambre sans savoir quoi faire

Elle entendit la porte s'ouvrir et se retourna pour le voir sortir, des gouttes d'eau sortaient de ses cheveux descendit sur son torse nu..., elle deglutit

Il était vraiment très beau

Il se dirigea vers le lit

- tu ne dors pas encore?

- non je t'attendais

Il s'arrêta derrière son dos et déposa ses deux mains sur ses épaules, Cristela se raidit

Il se pencha vers elle et son souffle effleura son oreille

- tu es si tendue, pourquoi Cassandra?

Elle tourna sa tête vers lui

- je...je sais rien, c'est toi qui me stress

Il la tourna vers lui et cette fois ci elle lui fit fasse

- ne nous voilons pas la fasse, nous savons touts les deux qu'il y a une tension électrique entre nous...

Elle baissa sa tête mais d'une pression sur le menton il lui releva la tête, ses yeux noisettes se perdit dans les siens

- je peux voir du désir dans tes yeux...là maintenant

Non, impossible! Elle n'est pas ce qu'il croit qu'elle est

Elle ne s'appelle pas Cassandra, ses yeux ne sont pas marrons, ses cheveux ne sont pas noir...et bien d'autres choses fausses encore

Elle n'est pas sa fiancée!

- non, tu te trompes Arturo, je n'éprouves aucun désir pour toi contrairement à ce que tu penses

Balivernes!

Il se pencha pour être encore plus près d'elle

- tu te mens à toi même, ton corps me le prouves

Et comme pour prouver ses dires il plaqua son corps contre le sien, à cet instant ni ses pensées ni son corps semblait vouloir le résister ni même le repousser

- tu sens toute cette tension? Demanda t-il d'une voix si rauque qu'elle dût s'humecter les lèvres

Il pressa sa main dans son dos pour la plaquer contre son torse dur

- non, je ne sens rien, se força t-elle à dire

Il se mit à rire

- tu es très obstiné à dire non mon petit coeur

À l'entente de ce petit nom, elle ferma les yeux non sans rougir ce qui la fit vaciller dans ses bras

Il la retourna et écrasa sa bouche contre la sienne. Aucun homme ne lui avait embrassé avec autant de fougue, elle répondit à son baiser en ouvrant ses lèvres brûlantes de désir, il en profita et lui offrit des caresses habiles contre sa langue pendant de longues minutes avant de s'arracher à sa bouche

Le Pacte Des Trois Soeurs Tome I ( Amoureuse du comte )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant