Chapitre 5: La Vérité

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Le soir même j'ai ouvert la lettre. Elle disait toutes ses pensées sur la guerre, et aussi l'amour qu'il portait à sa famille et... Il y a aussi... Ses derniers instant.

                 ~ 50 ans plus tôt ~

Sur le champs de bataille, grand père à été déconcentré. Il a vue un de ses anciens élèves, qui était en train de souffrir le martyre, allongé sur le sol, derrière un muré. Il s'est Approché du jeune garçon, sans savoir quoi faire, l'élève portait l'uniforme ennemie, mais il était avant tout un enfant qu'il a vue grandir. Pendant que le professeur ne savait que faire l'étudiant dit :

- Si vous vous demandez si j'ai peur la réponse et oui. J'ai toujours redouté ce moment, le moment où l'on ferme les yeux et qu'on ne voit plus rien. Vous avez peur vous aussi ? Demanda t il d'une voix fébrile.

-Toujours. Repondi le professeur

-Je ne verrais plus jamais ma mère, senglot il, ni ma sœur et ma fiancée.

La guerre avait beau faire beaucoup de bruit Grand-père n'entendait que la voi du jeune mourant.

- Elles me manquent, et je ne leur ai pas dit comment je les aimais ni comment elles sont importantes pour moi ! Crie le jeune garçon en pleurant.

- Ne vous en faites pas, vous allez les revoir, je vous le promet. Mais pour ça île faut se cacher pendant un moment, le temps que les coup de feu sesse.

Grand-père était inquiet mais ne laissait rien par être, île était fort, du moins c'est ce qu'il voulait faire croire. La nuit à pris du temps pour tomber. Mais le jeune garçon n'était pas encore mort, le professeur avait rincer la plaie avec un peu d'eau qui restait dans sa gourde, la blessure empenchait le jeune homme de marchait, grand père l'a donc porté, heureusement le jeune garçon a pu rentrer chez lui. Ils étaient rentrés par la porte d'entrée les trois jeunes femmes les ont accueilli comme si elles les attendaient. Ils avaient beau avoir des armes et être couverts de sang les femmes semblaient savoir ce qu'il fallait faire, du moins elles faisaient de leurs mieux.
Mon grand père du partir avant le levé du soleil. Il est sortie... La mère du jeune garçon l'accompagnement au pas de la porte et... Une balle frappa grand père en pleine tête. Personne ne pouvait l'aider. Le meurtrier était le voisin, il avait vue un uniforme enemies et a tiré dessus sens réfléchire. C'est ce jour là où grand père a été tué. Il était un déserteur oui, mais aussi un hero.

Le Journal De Grand-père Où les histoires vivent. Découvrez maintenant