Les matins s'enchaînaient les uns à la suite des autres comme des musiques défileraient dans une pièce confinée. Julien semblait de plus en plus heureux et souriait chaque jour un peu plus en voyant Isadora. Mais elle, semblait de plus en plus attristée. Pourtant il ne le remarquait pas, il était beaucoup trop heureux pour voir le malheur dominer en maître sur le visage de la jeune fille.
C'était flagrant mais lui ne voyait rien. Plus les jours passaient et plus son teint se grisait, plus le temps passait et plus ses taches de rousseurs semblaient faner à la lueur du soleil cuisant. Plus Julien souriait, plus elle perdait de son éclat.
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