Texte I

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Ô toi sous tes cerisiers au milles couleurs
Tu humes leur douce odeur et t'accapares cette illusion du bonheur. Oui toi sous tes cerisiers au milles senteurs ouvres les yeux sur ce monde anciennement bleu.

Regardes cet enfant il croit jouer mais je vois bien qu'il pleure
Il a le coeur grand mais n'a plus rien à aimer.
Le temps lui a fait payer pour tes erreurs il lui a arraché son innocence avant qu'il ne sache dire « Papa ».
Pourtant lui reste vivant et se bat pour que personne ne paie de ses erreurs mais bénéficie de ses actions.

Ô toi sous ton cerisier aux milles couleurs tu écoutes le vent te conter ton bonheur, mais que te dit vraiment ?
Il te montre ton royaume mais te vole tes terres
Regardes il arrache déjà les feuilles de ton cerisier

Mires toi dans ton miroir tes pupilles dorées perdent leurs éclats tu sais la vie peut se passer de toi.
Tu crois la dominer, elle te laisse le penser pour mieux te renverser.
Tâtes ton reflet est-ce que tu veux ?
Il est impossible de modifier le passer, mais ton dernier cerisier t'offre une seconde chance.
Essaie de te racheter empêche le de faner.

Ô toi sous ton cerisier au milles couleurs
Tu humes sa douce odeur et t'accapares cette illusion du bonheur. Oui toi sous ton cerisier au milles senteurs ouvres les yeux sur ce monde anciennement bleu.

Je souhaiterais m'excuser pour les fautes d'orthographe !
(Valable pour les chapitres suivant)


Thalie de Thèbes.

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